Mac-Mahon

Maréchal glorieux, héros de la guerre de Crimée au siège de Sébastopol (“ J’y suis, j’y reste ”), nommé vingt ans après président de la Troisième République (rival heureux de Thiers). Monarchiste à l’image du pays, il veut laisser la place au prétendant au trône, mais refuse le rétablissement du drapeau blanc. Loyal, il saura se soumettre, puis se démettre en cours de septennat.

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« J’y suis, j’y reste. »  

MAC-MAHON (1808-1893), au fort de Malakoff, surplombant la citadelle de Sébastopol, 8 septembre 1855

« Il faut tout prendre au sérieux, mais rien au tragique. »  

Adolphe THIERS (1797-1877), Discours à la Chambre des députés, 24 mai 1873

« Je croyais avoir affaire à un Connétable de France, je n’ai trouvé qu’un capitaine de gendarmerie. »  

Comte de CHAMBORD (1820-1883), apprenant le refus de Mac-Mahon qui se récuse, le 12 novembre 1873

« Que d’eau, que d’eau ! »  

MAC-MAHON (1808-1893) à la vue des inondations catastrophiques, Toulouse, 26 juin 1875

« Je suis, vous le savez, messieurs, profondément républicain et profondément conservateur. »  

Jules SIMON (1814-1896), président du Conseil, Chambre des députés, Déclaration ministérielle du 14 décembre 1876

« L’ordre moral atteint au délire de la stupidité. »  

Gustave FLAUBERT (1821-1880), Correspondance, volume IV (1893)

« La monture a l’air intelligent, ma foi. »  

Légende d’un portrait de Mac-Mahon à cheval, été 1877

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