Hugo : « Ce siècle avait deux ans. Rome remplaçait Sparte. Déjà Napoléon perçait sous Bonaparte… »
Lyrique face à l’Empire, Hugo est fasciné par le personnage de Napoléon, ce destin hors norme, cette théâtralité constante qui tient la scène du monde pendant vingt ans, jusqu’à la tragédie finale. L’auteur contribue à la légende impériale, née après le désastre de Waterloo (1815) et relancée par la mort de l’Aiglon (1832). Sa haine […]


