« Le nationalisme […] quel chemin il a fait […]…
« Le nationalisme […] quel chemin il a fait […] Les puissants maîtres de l’or et de l’opinion universelle l’ont vite arraché aux mains des philosophes et des poètes. Ma Lorraine ! ma Provence ! ma Terre ! mes Morts ! Ils disaient : mes phosphates, mes pétroles, mon fer. » Georges BERNANOS (1888-1948), Les Grands Cimetières sous la lune (1938) […]

