Génie romantique, également historien, témoin des premiers jours de la Révolution à Paris, horrifié par “ la première tête au bout d’une pique ”, il admire Bonaparte sous le Consulat et prend ses distances avec l’Empire, joue un rôle politique sous la Restauration et la Monarchie de Juillet - surtout dans l’opposition, sa vraie nature.
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Affichage de 1 - 13 sur 13.(1768-1848), Mémoires d’outre-tombe (posthume)
(1768-1848), Mémoires d’outre-tombe (posthume)
(1768-1848), Mémoires d’outre-tombe (posthume)
« Vivant, il a manqué le monde ; mort, il le possède. »1783
(1768-1848), Vie de Napoléon, livres XIX à XXIV des Mémoires d’outre-tombe (posthume)
« Quand Monsieur de Talleyrand ne conspire pas, il trafique. »1786
(1768-1848), Mémoires d’outre-tombe (posthume)
(1768-1848), Mémoires d’outre-tombe (posthume)
« La légitimité gisait en dépôt à l’hôtel d’Hane de Steenhuyse comme un vieux fourgon brisé. »1938
(1768-1848), Mémoires d’outre-tombe (posthume)
(1768-1848), Mémoires d’outre-tombe (posthume)
« Le pied lui a glissé dans le sang. »1978
(1768-1848)
« J’ai aidé à conquérir celle de nos libertés qui les vaut toutes, la liberté de la presse. »2003
(1768-1848), Mémoires d’outre-tombe (posthume)
(1768-1848), De la Restauration et de la Monarchie élective (1830)