Un des personnages les plus antipathiques de l’histoire - avec Marat qui exploita le premier ses talents. Policier dans l’âme et traître sans état d’âme, évêque défroqué, il se distingue comme tortionnaire sous la Révolution, en “ Mitrailleur de Lyon ”. Compère de Talleyrand, ils furent ministres de Napoléon qui ne pouvait se passer de leur intelligence.
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Affichage de 1 - 9 sur 9.(1759-1820), à Saint-Just, novembre 1793
(1759-1820), ministre de la Police, 1er janvier 1801
« L’air est plein de poignards. »1741
(1759-1820), mi-janvier 1804
« C’est pire qu’un crime, c’est une faute. »1747
(1761-1840), apprenant l’exécution du duc d’Enghien, le 21 mars 1804.
Mot parfois attribué, mais à tort, à (1759-1820) ou à (1754-1838)
« L'art de la police est de ne pas voir ce qu'il est inutile qu'elle voie. »1760
(1769-1821), Premier Consul, Au citoyen Fouché, 24 mai 1800
« Que voulez-vous, mon cher, la religion se perd ! »1837
(1754-1838), à Fouché, en 1809
(1759-1820), lucide quant à l’avenir, mars 1815
(1768-1848), Mémoires d’outre-tombe (posthume)