Un des personnages les plus antipathiques de l’histoire – avec Marat qui exploita le premier ses talents. Policier dans l’âme et traître sans état d’âme, il se distingue comme tortionnaire sous la Révolution, en “ Mitrailleur de Lyon ”. Compère de Talleyrand, ils furent ministres de Napoléon qui ne pouvait se passer de leur intelligence.
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Joseph FOUCHÉ (1759-1820), à Saint-Just, novembre 1793
Joseph FOUCHÉ (1759-1820), ministre de la Police, 1er janvier 1801
« L’air est plein de poignards. »
Joseph FOUCHÉ (1759-1820), mi-janvier 1804
« C’est pire qu’un crime, c’est une faute. »
Antoine Claude Joseph BOULAY de la MEURTHE (1761-1840), apprenant l’exécution du duc d’Enghien, le 21 mars 1804.
Mot parfois attribué, mais à tort, à FOUCHÉ (1759-1820) ou à TALLEYRAND (1754-1838)
« L’art de la police est de ne pas voir ce qu’il est inutile qu’elle voie. »
Napoléon BONAPARTE (1769-1821), Premier Consul, Au citoyen Fouché, 24 mai 1800
« Que voulez-vous, mon cher, la religion se perd ! »
TALLEYRAND (1754-1838), à Fouché, en 1809
Joseph FOUCHÉ (1759-1820), lucide quant à l’avenir, mars 1815
François René de CHATEAUBRIAND (1768-1848), Mémoires d’outre-tombe (posthume)

