Henri IV

Notre roi le plus tolérant et le moins religieux, victime de la religion et du fanatisme, entré bien vivant dans la légende avec sa poule au pot, son panache blanc, quelques citations de bon aloi, un humour à toute épreuve, le fameux édit de pacification avec les protestants signé à Nantes (1598), une vie privée très publique, une série de maîtresses et de bâtards. D’où sa popularité sans égale.

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« Si je n’étais huguenot, je me ferais Turc ! »  

HENRI III DE NAVARRE (1553-1610), Lettre à Diane d’Andouins, dite la Belle Corisande, 8 mars 1588

« Capitaine Bon Vouloir, il n’est pas grand abatteur de bois. »  

TALLEMANT des RÉAUX (1619-1692), Historiettes (posthume)

« Ralliez-vous à mon panache blanc, vous le trouverez au chemin de la victoire et de l’honneur. »  

HENRI IV (1553-1610), à ses compagnons, avant la bataille d’Ivry, 14 mars 1590

« Sire, il ne faut plus tortignonner […] Avisez de choisir…»  

Duc de SULLY (1560-1641), à Henri IV, mars 1593

« La couronne vaut bien une messe. »  

Duc de SULLY (1560-1641), en 1593

« Ce sera dimanche que je ferai le saut périlleux. »  

HENRI IV (1553-1610), Lettre à Gabrielle d’Estrées, juillet 1593

« Voilà de belles clefs ! Mais je préfère encore celles qui m’ouvrent le cœur des habitants ! »  

HENRI IV (1553-1610), au maire de Rennes qui lui remet les clefs de sa ville, 9 mai 1598

« Je veux que ceux de la religion vivent en paix en mon royaume. Il est temps que nous tous, saouls de guerre, devenions sages à nos dépens. »  

HENRI IV (1553-1610), résumant la philosophie de l’édit de pacification de Nantes, signé le 13 avril 1598

« Cela me crucifie ! »  

CLÉMENT VIII (1536-1605), à l’annonce de la signature de l’édit de Nantes, 1598

« La racine de mon cœur est morte et ne rejettera [repoussera] plus ! »  

HENRI IV (1553-1610), inconsolable à la mort de Gabrielle d’Estrées, 1599

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