Marie-Antoinette

Affichage de 1 – 22 sur 22.

« Ne parlez point allemand, Monsieur ; à dater de ce jour, je n’entends plus d’autre langue que le français. »  

MARIE-ANTOINETTE d’Autriche (1755-1793), à M. d’Antigny, chef de la Cité (Strasbourg), 7 mai 1770

« Madame, vous avez là deux cent mille amoureux. »  

Duc de BRISSAC (1734-1792), gouverneur de Paris, à Marie-Antoinette, 8 juin 1773

« Mon Dieu, guidez-nous, protégez-nous, nous régnons trop jeunes ! »  

LOUIS XVI (1754-1793) et MARIE-ANTOINETTE (1755-1793), Versailles, 10 mai 1774

« S’ils n’ont pas de pain, qu’ils mangent de la brioche. »  

Mot attribué – sans doute à tort – à MARIE-ANTOINETTE (1755-1793), et incontestablement emprunté à Jean-Jacques ROUSSEAU (1712-1778)

« Madame, si c’est possible, c’est fait ; impossible, cela se fera. »  

CALONNE (1734-1802), ministre des Finances répondant à une demande de Marie-Antoinette, 1784

« Nous avons plus grand besoin d’un vaisseau que d’un collier. »  

MARIE-ANTOINETTE (1755-1793), aux joailliers de la couronne, Boehmer et Bassenge

« Madame, la monarchie est sauvée. »  

Comte de MIRABEAU (1749-1791), à la reine, Château de Saint-Cloud, 3 juillet 1790

« Maman, est-ce qu’hier n’est pas fini ? »  

Le dauphin LOUIS, futur « LOUIS XVII »   (1785-1795), à Marie-Antoinette, fin juin 1791

« Ils peuvent être mes bourreaux, mais ils ne seront jamais mes juges. »  

MARIE-ANTOINETTE (1755-1793), apprenant qu’elle va être jugée par le Tribunal révolutionnaire, début octobre 1793

« Si je n’ai pas répondu, c’est que la nature se refuse à répondre à pareille inculpation faite à une mère : j’en appelle à toutes celles qui peuvent se trouver ici. »  

MARIE-ANTOINETTE (1755-1793), réplique à un juré s’étonnant de son silence au sujet de l’accusation d’inceste, Tribunal révolutionnaire, 14 octobre 1793

Retour en haut