Talleyrand

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« Les droits des hommes étaient méconnus, insultés depuis des siècles ; ils ont été rétablis pour l’humanité entière. »  

TALLEYRAND (1754-1838), Adresse solennelle aux Français, lue le 11 février 1790 à l’Assemblée

« Mon ami, j’emporte avec moi les derniers lambeaux de la monarchie. »  

Comte de MIRABEAU (1749-1791), à Talleyrand, fin mars 1791. Son « mot de la fin politique »  

« L’espace qui sépare la Grande-Bretagne du continent n’est point infranchissable. »  

Napoléon BONAPARTE (1769-1821), Lettre à Talleyrand, ministre des Relations extérieures, 19 avril 1801

« C’est pire qu’un crime, c’est une faute. »  

Antoine Claude Joseph BOULAY de la MEURTHE (1761-1840), apprenant l’exécution du duc d’Enghien, le 21 mars 1804.
Mot parfois attribué, mais à tort, à FOUCHÉ (1759-1820) ou à TALLEYRAND (1754-1838)

« La diplomatie est la police en grand costume. »  

NAPOLÉON Ier (1769-1821), Maximes et pensées

« Talleyrand, ci-devant noble, ci-devant prêtre, ci-devant évêque, avait trahi les deux ordres auxquels il appartenait. »  

Louis MADELIN (1871-1956), De Brumaire à Marengo, Histoire du Consulat et de l’Empire, tome III (1938)

« Quand Monsieur de Talleyrand ne conspire pas, il trafique. »  

François René de CHATEAUBRIAND (1768-1848), Mémoires d’outre-tombe (posthume)

« Ne suivez jamais votre premier mouvement, il est toujours généreux. »  

TALLEYRAND (1754-1838), aux jeunes secrétaires d’ambassade

« Je me suis mis à la disposition des événements et, pourvu que je restasse Français, tout me convenait. »  

TALLEYRAND (1754-1838), Mémoires et Correspondance du prince de Talleyrand (posthume, 1891)

« Que voulez-vous, mon cher, la religion se perd ! »  

TALLEYRAND (1754-1838), à Fouché, en 1809

« Voilà le commencement de la fin. »  

TALLEYRAND (1754-1838), à l’annonce du désastre de la retraite de Russie, décembre 1812

« Si cela va sans le dire, cela ira encore mieux en le disant. »  

TALLEYRAND (1754-1838), au Congrès de Vienne, octobre 1814

« Il faut tuer Buonaparte comme un chien enragé. »  

TALLEYRAND (1754-1838), Congrès de Vienne, 12 mars 1815

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