attentat (et assassinat)

Réussi ou raté, revendiqué ou anonyme, forme de violence récurrente qui peut devenir tuerie de masse (11 septembre 2011). Les motifs sont religieux ou politiques (régicide, anarchie, résistance, terrorisme, opposition d’extrême gauche ou d’extrême droite) et la tête de l’État est souvent visée (roi, empereur, président de la République).

Cliquez sur une citation pour la consulter dans son contexte historique.Retour à l’index

Affichage de 1 – 25 sur 42.

« Si c’était un homme du moins ! C’est un goujat ! »  

Amiral Gaspard de COLIGNY (1519-1572), dans la nuit du 23 au 24 août 1572

« Le corps d’un ennemi mort sent toujours bon. »  

CHARLES IX (1550-1574), le 24 août, jour de la Saint-Barthélemy (du nom du saint, fêté sur le calendrier)

« Ah ! le méchant moine, il m’a tué, qu’on le tue ! »  

HENRI III (1551-1589), Saint-Cloud, 1er août 1589, « premier mot de la fin »  

« Ce n’est rien. »  

HENRI IV (1553-1610), mot de la fin, 14 mai 1610

« Le fanatisme est une peste qui reproduit de temps en temps des germes capables d’infester la terre. »  

Denis DIDEROT (1713-1784), Encyclopédie, article « Christianisme »  

« Le monstre est un chien qui aura entendu aboyer quelques chiens et qui aura pris la rage. »  

VOLTAIRE (1694-1778), Lettre à Mme de Lutzelbourg, 20 janvier 1757, Correspondance (posthume)

« La journée sera rude ! »  

Robert François DAMIENS (1715-1757), à qui sa condamnation est lue, 28 mars 1757

« N’est-ce pas que je suis de la poule blanche ! »  

Napoléon BONAPARTE (1769-1821), à sa mère, après l’attentat de la rue Saint-Nicaise, 24 décembre 1800

« L’air est plein de poignards. »  

Joseph FOUCHÉ (1759-1820), mi-janvier 1804

« C’est pire qu’un crime, c’est une faute. »  

Antoine Claude Joseph BOULAY de la MEURTHE (1761-1840), apprenant l’exécution du duc d’Enghien, le 21 mars 1804.
Mot parfois attribué, mais à tort, à FOUCHÉ (1759-1820) ou à TALLEYRAND (1754-1838)

« Vive le roi ! »  

Georges CADOUDAL (1771-1804), mot de la fin, et dernier cri du premier des condamnés à être guillotiné place de Grève, 25 juin 1804

« Que voulez-vous, mon cher, la religion se perd ! »  

TALLEYRAND (1754-1838), à Fouché, en 1809

« Le pied lui a glissé dans le sang. »  

François René de CHATEAUBRIAND (1768-1848)

« Quel dommage que je n’aie pas été blessé, j’aurais pu faire grâce ! »  

LOUIS-PHILIPPE (1773-1850), après l’attentat de Fieschi, 28 juillet 1835

Pages

Retour en haut