Commune de Paris (1871)

Dernière de nos grandes guerres civiles (Versaillais contre Communards), doublée de la guerre franco-allemande de 1870-71 et d’un conflit idéologique majeur. Paris assiégé, affamé, déchiré : tragédie exemplaire, qui marque la mémoire collective. La Troisième République véritablement naît dans la douleur.

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« Sauver Paris, c’est plus que sauver la France, c’est sauver le monde. »  

Victor HUGO (1802-1885), Pendant l’exil (écrits et discours de 1852-1870)

« La révolution sera la floraison de l’humanité comme l’amour est la floraison du cœur. »  

Louise MICHEL (1830-1905), La Commune, Histoire et souvenirs (1898)

« Le bon Dieu est trop Versaillais. »  

Louise MICHEL (1830-1905), La Commune, Histoire et souvenirs (1898)

« On ne peut pas tuer l’idée à coups de canon ni lui mettre les poucettes [menottes]. »  

Louise MICHEL (1830-1905), La Commune, Histoire et souvenirs (1898)

« Debout ! Les damnés de la terre !Debout ! Les forçats de la faim ! »  

Eugène POTTIER (1816-1887), paroles de L’Internationale, chanson

« On aura besoin du socialisme pour faire un monde nouveau. »  

Louise MICHEL (1830-1905), Lettre à la Commission des grâces, mai 1873

« Du passé faisons table rase,Foule esclave, debout ! Debout !Le monde va changer de base :Nous ne sommes rien, soyons tout ! »  

Eugène POTTIER (1816-1887), paroles, et Pierre DEGEYTER (1848-1932), musique, L’Internationale, chanson

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