Dernière de nos grandes guerres civiles (Versaillais contre Communards), doublée de la guerre franco-allemande de 1870-71 et d’un conflit idéologique majeur. Paris assiégé, affamé, déchiré : tragédie exemplaire, qui marque la mémoire collective. La Troisième République véritablement naît dans la douleur.
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« Sauver Paris, c’est plus que sauver la France, c’est sauver le monde. »
(1802-1885), Pendant l’exil (écrits et discours de 1852-1870)
(1830-1905), À ceux qui veulent rester esclaves
(1834-1908), Madame et Monsieur Cardinal (1872)
(1854-1891), Les Mains de Jeanne-Marie (1871)
(1820-1890), début mars 1871
« La révolution sera la floraison de l’humanité comme l’amour est la floraison du cœur. »
(1830-1905), La Commune, Histoire et souvenirs (1898)
(1831-1913), Le Mot d’ordre, 16 avril 1871
La Commune, Déclaration au peuple français, 19 avril 1871
« Il s’agit aujourd’hui non plus de couper les têtes, mais d’ouvrir les intelligences. »
(1831-1913), Le Mot d’ordre, 5 mai 1871
« Paris sera soumis à la puissance de l’État comme un hameau de cent habitants. »
(1797-1877), Déclaration du 15 mai 1871
(1808-1893), Proclamation affichée le 29 mai 1871
« Le bon Dieu est trop Versaillais. »
(1830-1905), La Commune, Histoire et souvenirs (1898)
« On ne peut pas tuer l’idée à coups de canon ni lui mettre les poucettes [menottes]. »
(1830-1905), La Commune, Histoire et souvenirs (1898)
« Debout ! Les damnés de la terre !Debout ! Les forçats de la faim ! »
(1816-1887), paroles de L’Internationale, chanson
(1859-1914), Histoire socialiste, 1789-1900, volume XI, La Commune, Louis Dubreuilh (1908)
(1818-1883), La Guerre civile en France (1871)
« On aura besoin du socialisme pour faire un monde nouveau. »
(1830-1905), Lettre à la Commission des grâces, mai 1873
(1862-1923), Mes cahiers, 1896-1898 (1929)
(1816-1887), paroles, et (1848-1932), musique, L’Internationale, chanson

