exil

Condamnation politique et individuelle (à l’inverse de l’émigration). Napoléon exilé deux fois (1814 et 1815) et Hugo près de 20 ans, opposant républicain au Second Empire. Les souverains déchus partent (et meurent) en exil : Charles X, Louis-Philippe, Napoléon III. Autres condamnés en 1871, des Communards (Rochefort, Louise Michel).

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« Mon très redouté seigneur, je me recommande à votre bonne grâce tant et si très humblement que je puis […] »  

Dauphin LOUIS, futur LOUIS XI (1423-1483), Lettre à son père le roi Charles VII, octobre 1452

« Louis XIV le reçut comme un père et le peuple comme un maître. »  

VOLTAIRE (1694-1778) évoquant le retour de Mazarin, 3 février 1653

« La mode est maintenant de rentrer, comme jadis de sortir. »  

Comte de NEUILLY (1777-1863), Dix années d’émigration, Souvenirs et correspondance (posthume, 1865)

« Français ! […] j’arrive parmi vous reprendre mes droits qui sont les vôtres. »  

NAPOLÉON Ier (1769-1821), Golfe Juan, Proclamation du 1er mars 1815

« La légitimité gisait en dépôt à l’hôtel d’Hane de Steenhuyse comme un vieux fourgon brisé. »  

François René de CHATEAUBRIAND (1768-1848), Mémoires d’outre-tombe (posthume)

« Madame, Napoléon est en route pour Sainte-Hélène. »  

METTERNICH (1773-1859), Lettre à Marie-Louise, 13 août 1815

« L’Angleterre prit l’aigle et l’Autriche l’aiglon. »  

Victor HUGO (1802-1885), Les Chants du crépuscule (1835)

« Louis-Philippe a grand soin de nos nippes et il nous prend notre couronne. »  

Duchesse de BERRY (1798-1870), sur le chemin de l’exil avec son beau-père Charles X et toute la famille, à Vire, 11 août 1830

« La République a de la chance, elle peut tirer sur le peuple ! »  

LOUIS-PHILIPPE (1773-1850), exilé en Angleterre, apprenant que Cavaignac a fait tirer sur les émeutiers, le 25 juin 1848

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