grèves (et manifestations)

Il en faut de toutes les sortes, pour faire avancer l’histoire sur tous les fronts de toutes les revendications, donner un sens aux manifestations et accompagner toutes les révoltes. Mais “ il faut savoir terminer une grève ” (Thorez, secrétaire général du PCF sous le Front populaire, juin 1936).

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« Vivre libres en travaillant ou mourir en combattant. »  

Cri célèbre de l’émeute des canuts, 22 novembre 1831

« Je suis leur chef, il fallait bien les suivre. »  

LEDRU-ROLLIN (1807-1874), au lendemain de l’insurrection du 13 juin 1849

« Vous allez voir comment on meurt pour 25 francs. »  

Alphonse BAUDIN (1811-1851), député, appelant le peuple à la lutte, sur une barricade de la rue Sainte-Marguerite, 3 décembre 1851

« Pas ça ou pas vous ! »  

Jean JAURÈS (1859-1914) à Aristide Briand, Chambre des députés, 10 mai 1907

« [La grève] éduque, elle aguerrit, elle entraîne et elle crée. »  

Victor GRIFFUELHES (1874-1922), L’Action syndicaliste (1908)

« Les banques, je les ferme, les banquiers, je les enferme. »  

Vincent AURIOL (1884-1966), ministre des Finances, Front Populaire, 1936

« Il faut savoir terminer une grève. »  

Maurice THOREZ (1900-1964), secrétaire général du PCF, Déclaration du 11 juin 1936

« On peut négocier avec le patronat après une grève, jamais avant. »  

Eugène DESCAMPS (1922-1990), secrétaire général de la CFDT (Confédération française démocratique du travail)

« La réforme, oui, la chienlit, non. »  

Charles de GAULLE (1890-1970), Bureau de l’Élysée, dimanche matin, 19 mai 1968

La chienlit, c’est lui.

Slogan sous une marionnette en habit de général aux Beaux-Arts, 20 mai 1968

« Le gouvernement ne détermine pas sa politique à la longueur des cortèges. »  

Raymond BARRE (1924-2007), Assemblée nationale, 7 octobre 1976

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