Complainte de Louis-Napoléon pour compléter sa profession de foi (1848), chanson
« Le citoyen Bonaparte élu président de la République. »
(1801-1852), président de l’Assemblée constituante, Déclaration du 20 décembre 1848
« L’élu de six millions de suffrages exécute les volontés du peuple, il ne les trahit pas. »
(1808-1873), Discours de Lyon, 15 août 1850
« Vous faites appel à mon patriotisme… soit, j’accepte ! »
(1808-1893), 18 mai 1873
(1823-1902), J’y suis, j’y reste (1873), chanson
(1812-1904), amendement du 30 janvier 1875
(1808-1893) à la vue des inondations catastrophiques, Toulouse, 26 juin 1875
(1872-1956), Le Crime de Lyon, chanson
« Le président a-t-il toujours sa connaissance ? — Non, elle est sortie par l’escalier. »
L’anecdote qui court dans Paris le 16 février 1899
« Cela ne fait pas un homme de moins en France. Néanmoins, voici une belle place à prendre. »
(1841-1929), L’Aurore, au lendemain de la mort de Félix Faure, fin février 1899
« La place n’est pas mauvaise, mais il n’y a pas d’avancement. »
(1841-1931), à Raymond Poincaré reçu à l’Élysée, 17 janvier 1913
« Nous voterons pour Deschanel en criant « vive Clemenceau ! » . »
Exclamation d’un député
(1884-1966), président de la République. Déclaration du 16 janvier 1947
« Pourquoi voulez-vous qu’à soixante-sept ans je commence une carrière de dictateur ? »
(1890-1970), conférence de presse, 19 mai 1958
(1890-1970), Conférence de presse, 11 avril 1961
(1890-1970), Mémoires d’espoir, tome I, Le renouveau, 1958-1962 (1970)
(1890-1970), Discours, 18 octobre 1962

