« Et le Christ ? — C’est un anarchiste qui a réussi. C’est le seul. »
(1901-1976), L’Espoir (1937)
(vers 265-340), Histoire ecclésiastique (premier document sur les débuts de l’Église, diverses éditions et traductions)
(331-363), mourant en 363
« Ceux qui prient, ceux qui combattent, ceux qui travaillent. »
(vers 947-1030) et (1033-1109)
« Tout lui réussissait, parce qu’il marchait le cœur droit devant Dieu. »
(538-594), Histoire des Francs (Historia Francorum)
« Il avait reçu une peuplade barbare, il a laissé une grande nation chrétienne. »
(1898-1979), Clovis (1935)
« Dieu de Clotilde, si tu me donnes la victoire, je me ferai chrétien. »
(vers 466-511), invoquant le Dieu de sa femme chrétienne, bataille de Tolbiac, 496
« Courbe la tête, fier Sicambre, adore ce que tu as brûlé, brûle ce que tu as adoré. »
(vers 437-vers 533), à Clovis, 25 décembre 496
« On voit bien que c’est le Diable qui a fait le monde, puisque rien ne nous arrive à souhait. »
(1156-1222), comte de Toulouse
(1494-1547) et (vers 1476-1524), au soir de Marignan, le 14 septembre 1515
« Peut-être que l’heure du royaume de France est venue. »
(1483-1546), à la nouvelle du désastre de Pavie, fin février 1525
(1494-1547), Lettre de novembre 1533 au Parlement de Paris
Quatre grosses bêtes (ou Contre les Huguenots), chanson satirique contre quatre protestants célèbres
« Que mon peuple persiste et demeure ferme en la foi en laquelle je meurs. »
(1519-1559), mot de la fin, le 10 juillet 1559
« Fille pire que sa mère, qui avait gâté son mari et infesté toute la maison de Vendôme. »
(1476-1559), peu avant sa mort
« Si je n’étais huguenot, je me ferais Turc ! »
(1553-1610), Lettre à Diane d’Andouins, dite la Belle Corisande, 8 mars 1588
« La couronne vaut bien une messe. »
(1560-1641), en 1593