division (désunion)

Un mal français, sauf quand ça va très mal et que l’union (sacrée) l’emporte, au nom de la patrie (en danger).

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« Une guerre étrangère est un mal bien plus doux que la civile. »  

Michel de MONTAIGNE (1533-1592), Les Essais (1580, première édition)

« L’État s’est crevassé et ébranlé depuis la journée de la Saint-Barthélemy, depuis que la foi du prince envers le sujet et du sujet envers le prince, qui est le seul ciment qui entretient les États en union, s’est si outrageusement démentie. »  

Philippe DUPLESSIS-MORNAY (1549-1623), Mémoires et correspondance de Duplessis-Mornay pour servir à l’histoire de la réformation et des guerres civiles et religieuses en France, sous les règnes de Charles IX, de Henri III, de Henri IV et de Louis XIII, depuis l’an 1571 jusqu’en 1623

« Le bonnet de coton ne se montra pas moins hideux que le bonnet rouge. »  

Gustave FLAUBERT (1821-1880), L’Éducation sentimentale (1869)

« La République est le gouvernement qui nous divise le moins. »  

Adolphe THIERS (1797-1877), Assemblée législative, 13 février 1850

« Au moral, la haine de l’esprit militaire, au matériel, un désarmement qui attire la guerre comme l’aimant le fer. »  

Charles MAURRAS (1868-1952), Au signe de Flore : souvenirs de vie politique, l’affaire Dreyfus, la fondation de l’Action française, 1898-1900 (1931)

« J’entre aujourd’hui dans la voie de la collaboration. »  

Philippe PÉTAIN (1856-1951), Annonce faite aux Français, 30 octobre 1940

« Jusqu’à présent la France est coupée en deux, avec moi elle sera pliée en quatre ! »  

COLUCHE (1944-1986), slogan du candidat à l’élection présidentielle de 1981

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