Forme de résistance plus ou moins violente, pouvant aller jusqu’à l’émeute, l’insurrection, la Fronde, la révolution, voire La Révolution française, référence dans le monde, ou la Commune de Paris.
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(1423-1483), Lettre à son père le roi Charles VII, octobre 1452
(??-1613), ambassadeur anglais (1609)
« Ils font comme leurs enfants, ils jouent “à la fronde”. »
(1871-1956), La Fronde
« Qu’ils chantent, pourvu qu’ils paient. »
(1602-1661)
« Le Roi sera le maître partout, hors dans cette ville-là. »
(1602-1661), furieux contre l’attitude de Paris et de son Parlement frondeur, fin 1648
Condé, vous voilà dans Vincennes, chanson (1650)
« J’ai assez de la guerre des pots de chambre. »
Louis II de Bourbon-Condé, dit (1621-1686), été 1651
(1638-1715), Mémoires pour l’instruction du Dauphin (1662)
(1601-1666), présentant au roi la Grande Mademoiselle (1658)
(1627-1704), Politique tirée des propres paroles de l’Écriture sainte (posthume)
(1627-1704), Politique tirée de l’Écriture sainte (posthume)
Épitaphe (anonyme) de Colbert, 1683
« Depuis l’Évangile jusqu’au Contrat social, ce sont les livres qui ont fait les révolutions. »
(1754-1840), Mélanges littéraires, politiques et philosophiques, « Sur les éloges historiques de MM. Séguier et de Malesherbes »
(1712-1778), Du contrat social (1762)
(1694-1778), Lettre au marquis de Chauvelin, 2 avril 1764, Correspondance (posthume)
« Parlement à vendre / Ministres à pendre / Couronne à louer. »
Mots gravés sur les murs du Palais de justice, mai 1788
(1743-1793), Les Chaînes de l’esclavage (1774)
« Les grands ne sont grands que parce que nous sommes à genoux : levons-nous ! »
(1753-1793) et (1762-1790), devise en tête du journal de Louis-Marie Prudhomme, Les Révolutions de Paris
(1753-1801), Journal politique national des États généraux et de la Révolution de 1789, publié cette même année
(1802-1885), Le Dernier Jour d’un condamné (1829)