Thème éternel et inépuisable, d’ordre à la fois privé (personnel) et public (politique). Entre potins et rumeurs, menus plaisirs et tragédies, grandes et petites histoires d’amour à suivre, passionnément, à la folie.
Cliquez sur une citation pour la consulter dans son contexte historique.Retour à l’index
Affichage de 1 - 25 sur 79.« Hélas ! Vous ne me laisserez donc voir mon seigneur ni morte ni vive ! »211
(1221-1295), à Blanche de Castille, 1240
(1412-1431), Rouen, procès de Jeanne d’Arc, interrogatoire du 17 mars 1431
(1403-1461), mot de la fin, doublement chrétien, du roi mourant le jour de la sainte Madeleine, 22 juillet 1461
« Souvent femme varieBien fol est qui s’y fie. »446
(1494-1547)
« France et vous valent mieux que Pologne. »540
(1551-1589), Lettre à Catherine de Médicis, 22 juin 1574
« Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain : / Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie. »546
(1524-1585), Sonnet à Hélène (1578)
Chanson populaire sur Henri de Navarre et la reine Margot (1579)
Vive Henri IV, chanson anonyme
« Capitaine Bon Vouloir, il n’est pas grand abatteur de bois. »607
(1619-1692), Historiettes (posthume)
« Je me passerais mieux de dix maîtresses comme vous, que d'un serviteur comme lui. »647
(1553-1610), à Gabrielle d’Estrées, 1599
« La racine de mon cœur est morte et ne rejettera [repoussera] plus ! »648
(1553-1610), inconsolable à la mort de Gabrielle d’Estrées, 1599
« Hâtez-vous de me faire ce fils, de sorte que je puisse vous faire une fille. »651
(1553-1610), Lettre à Henriette d’Entragues, marquise de Verneuil, 1601
(1553-1610), Lettre à Marie de Médicis, 27 janvier 1601
« À Dieu ne plaise que l’adultère entre jamais en ma maison ! »680
(1601-1643), alors qu’on lui montre une jeune femme fort belle
« Assurez-vous toujours de mon affection qui durera jusqu’au dernier soupir de ma vie. »703
(1601-1643), Lettre à Richelieu, 16 octobre 1629
(1601-1643), au sieur de La Barre Le Sec, 25 juillet 1631
« Elle trahit avec volupté. »718
(1585-1642)
Le Frondeur compatissant, mazarinade
(1601-1666), présentant au roi la Grande Mademoiselle (1658)
« Vous êtes roi, vous pleurez et je pars. »802
(1639-1715), à Louis XIV, le 22 juin 1659
« Bon mariage, mon fils […] Il faut bien que vous preniez du fumier pour engraisser vos terres ! »837
(??-1699) à son fils, le duc de Picquigny