Thème éternel et inépuisable, d’ordre à la fois privé (personnel) et public (politique). Entre potins et rumeurs, menus plaisirs et tragédies, grandes et petites histoires d’amour à suivre, passionnément, à la folie.
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Affichage de 51 - 75 sur 79.« Ci-gît qui fut vingt ans pucelleSept ans catin et huit ans maquerelle. »1175
Épitaphe satirique de la marquise de Pompadour
« Oh ! la belle statue ! oh ! le beau piédestal ! / Les Vertus sont à pied et le Vice à cheval. »1177
Vers anonymes écrits sur le socle de la statue équestre de Louis XV
« Eh ! la France, ton café fout le camp. »1185
(1743-1793), s’adressant à Louis XV
« Madame, vous avez là deux cent mille amoureux. »1192
(1734-1792), gouverneur de Paris, à Marie-Antoinette, 8 juin 1773
Chanson à la mort de Louis XV (1774)
(1754-1793), Lettre à Marie-Antoinette
Romance en l’honneur de Marie-Antoinette, chanson (1774)
(1754-1793), au matin du 6 octobre 1789 à Versailles
« On a cherché à consommer la Révolution par la terreur ; j’aurais voulu la consommer par l’amour. »1493
(1753-1793), Convention, 10 avril 1793
« Les tyrans peuvent me persécuter : mais m’avilir ? Jamais, jamais ! »1518
(1754-1793), Lettre à Buzot
(1758-1794), Convention, Discours du 26 juillet 1794
« Eh bien ! duchesse, aimez-vous toujours autant les hommes ?— Oui Sire, quand ils sont polis. »1778
(1769-1820), répondant librement à (1769-1821), vers 1806
« C’est un ventre que j’épouse. »1846
(1769-1821)
(1772-1837), Livret d’annonce du nouveau monde industriel (1829)
(1821-1870), parole et musique, Le Chant des ouvriers (1846)
« Haine vigoureuse de l'anarchie, tendre et profond amour du peuple. »2178
(1802-1885), devise de L’Événement, juillet 1848-septembre 1851
« Ce n'est pas la peine d'avoir risqué le coup d'État avec nous tous pour épouser une lorette. »2254
(1808-1872), à Napoléon III, décembre 1852
(1854-1891), Les Mains de Jeanne-Marie (1871)
Les Actes de Badinguet (1870), chanson
« La révolution sera la floraison de l’humanité comme l’amour est la floraison du cœur. »2365
(1830-1905), La Commune, Histoire et souvenirs (1898)
« Il est mort comme il a vécu : en sous-lieutenant. »2499
(1841-1929), apprenant le suicide du général Boulanger sur la tombe de sa maîtresse à Ixelles (Belgique), le 30 septembre 1891