Fort ou faible, généralement mal aimé, accusé de tous les maux du pays et des Français, sous l’Ancien Régime comme en République, c’est un mal nécessaire qui peut se révéler fort utile, pour diriger durablement l’État, entité politique et juridique indispensable.
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Affichage de 126 - 150 sur 249.(1802-1885), Avant l’exil (discours 1841-1851)
« Ce gouvernement, je le caractérise d’un mot : la police partout, la justice nulle part. »2211
(1802-1885), Assemblée législative, avril 1851
(1802-1885), Histoire d’un crime (1877)
(1787-1874), Mémoires pour servir à l’histoire de mon temps (1858-1867)
« Aujourd’hui, le règne des castes est fini, on ne peut gouverner qu’avec les masses. »2243
(1808-1873), L’Extinction du paupérisme (1844)
« En politique, il faut guérir les maux, jamais les venger. »2250
(1808-1873), Des idées napoléoniennes (1839)
Le préfet de Dordogne en juin 1857
(1808-1872), ministre de l’Intérieur, Lettre aux préfets, 8 mai 1863
« On peut tout faire avec des baïonnettes, excepté s’asseoir dessus ! »2300
(1822-1891), septembre 1869.
Mot également attribué à (1841-1929), et surtout au Feld-maréchal autrichien (1771-1820), déplorant la fragilité du régime en 1814 (Restauration)
« Gouverner, c’est prévoir. »2331
(1797-1877).
Maxime attribuée aussi au journaliste (1806-1881)
(1797-1877), présentant son ministère et son programme à l’Assemblée, Bordeaux, 19 février 1871
« Le bon Dieu est trop Versaillais. »2378
(1830-1905), La Commune, Histoire et souvenirs (1898)
« Gloire aux pays où l'on parle, honte aux pays où l'on se tait. »2387
(1841-1929), Chambre des députés, 4 juin 1888
« Puisqu'elle [la Troisième République] gouverne peu, je lui pardonne de gouverner mal. »2390
(1844-1924), Histoire contemporaine (publiée de 1897 à 1901)
« Qu’on soit modéré, radical ou révolutionnaire, on est avant tout député. »2394
(1882-1924), La République des camarades (1913)
« Il n'est pas de gouvernements populaires. Gouverner, c'est mécontenter. »2397
(1844-1924), Histoire contemporaine. Monsieur Bergeret à Paris (1901)
(1851-1925), J’suis d’l’avis du gouvernement, chanson
(1797-1877), Discours de rentrée parlementaire, 13 novembre 1872
(1823-1902), J’y suis, j’y reste (1873), chanson
« La politique est l'art du possible. »2441
(1838-1882)