Croisades d’un autre âge (le Moyen Âge) contre les Infidèles (musulmans en Terre sainte) et autres hérétiques (cathares dans le Midi de la France), guerres civiles meurtrières et peu ou prou politiques opposant catholiques et protestants à la fin du XVIe siècle, conflit religieux hystérisé à propos de la laïcité en République (loi de 1905) … Et ça continue au XXIe siècle, avec l’Islam dans tous ses états.
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Affichage de 1 - 25 sur 59.« Et le Christ ? — C'est un anarchiste qui a réussi. C'est le seul. »11
(1901-1976), L’Espoir (1937)
(vers 1042-1099), Concile de Clermont, 1095
Cri de guerre et de ralliement des croisés, lancé dès la première croisade
« La folie des croisades est ce qui a le plus honoré la raison humaine. »170
(1846-1917), La Femme pauvre (1897)
(vers 1057-1111), au connétable Robert, février 1098
« Tuez-les tous ! Dieu reconnaîtra les siens ! »191
(1135-1225), avant le sac de Béziers, 22 juillet 1209
« Je me suis déjà rendu au Christ. À Dieu ne plaise que je [me] rende maintenant à ses ennemis. »193
Un chevalier croisé, vers 1212
« De deux maux, on doit toujours choisir le moindre. »194
(fin XIIe-1214), Chanson de la croisade albigeoise
(1214-1270), mot de la fin, le 25 août 1270, devant Tunis
« Une guerre étrangère est un mal bien plus doux que la civile. »411
(1533-1592), Les Essais (1580, première édition)
« J’ai couvé un œuf de colombe, Luther en a fait sortir un serpent. »450
(1469-1536), Éloge de la folie (1520)
« Jésus ! Qu’a donc cette jeunesse pour vouloir ainsi se faire brûler pour rien ? »486
Président du tribunal chargé de juger des calvinistes
« Divide ut regnes. » « Divise, afin de régner. »498
(1519-1589), maxime politique
(vers 1504-1573), Assemblée de Fontainebleau, 21 août 1560
(1524-1585), Discours des misères de ce temps, Remontrance au peuple de France (1562)
« Doux est le péril pour Christ et le pays ! »510
(1530-1569), mort à Jarnac, 13 mars 1569. Sa devise
« Comme corbeaux acharnez, / Sur ce corps mort vous venez. »513
(vers 1548-vers 1572), Complainte sur les misères de la guerre civile (1570)
« Mon Dieu, ma sœur n’y allez pas ! »522
(1547-1575) à sa sœur Marguerite, 23 août 1572
« Tuez-les, mais tuez-les tous, pour qu'il n'en reste pas un pour me le reprocher. »523
(1550-1574), 23 août 1572
« Si c’était un homme du moins ! C’est un goujat ! »524
(1519-1572), dans la nuit du 23 au 24 août 1572
« Le corps d’un ennemi mort sent toujours bon. »525
(1550-1574), le 24 août, jour de la Saint-Barthélemy (du nom du saint, fêté sur le calendrier)
« Hélas qu’ai-je donc fait ? — Si tu n’as rien fait, cela doit te consoler : tu mourras innocent ! »526
Réplique d’un capitaine suisse au jeune Saint-Martin, nuit du 23 au 24 août 1572