guerre(s) de religion (et croisades)

Croisades d’un autre âge (le Moyen Âge) contre les Infidèles (musulmans en Terre sainte) et autres hérétiques (cathares dans le Midi de la France), guerres civiles meurtrières et peu ou prou politiques opposant catholiques et protestants à la fin du XVIe siècle, conflit religieux hystérisé à propos de la laïcité en République (loi de 1905) … Et ça continue au XXIe siècle, avec l’Islam dans tous ses états.

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« Dieu le veut ! »  

Cri de guerre et de ralliement des croisés, lancé dès la première croisade

« Tuez-les tous ! Dieu reconnaîtra les siens ! »  

Arnaud AMAURY (1135-1225), avant le sac de Béziers, 22 juillet 1209

« De deux maux, on doit toujours choisir le moindre. »  

GUILLAUME de Tudèle (fin XIIe-1214), Chanson de la croisade albigeoise

« Jérusalem. »  

LOUIS IX (1214-1270), mot de la fin, le 25 août 1270, devant Tunis

« Une guerre étrangère est un mal bien plus doux que la civile. »  

Michel de MONTAIGNE (1533-1592), Les Essais (1580, première édition)

« Divide ut regnes. »   « Divise, afin de régner. »  

CATHERINE DE MÉDICIS (1519-1589), maxime politique

« Doux est le péril pour Christ et le pays ! »  

Prince Louis de CONDÉ (1530-1569), mort à Jarnac, 13 mars 1569. Sa devise

« Comme corbeaux acharnez, / Sur ce corps mort vous venez. »  

Jacques YVER (vers 1548-vers 1572), Complainte sur les misères de la guerre civile (1570)

« Mon Dieu, ma sœur n’y allez pas ! »  

Claude de FRANCE (1547-1575) à sa sœur Marguerite, 23 août 1572

« Si c’était un homme du moins ! C’est un goujat ! »  

Amiral Gaspard de COLIGNY (1519-1572), dans la nuit du 23 au 24 août 1572

« Le corps d’un ennemi mort sent toujours bon. »  

CHARLES IX (1550-1574), le 24 août, jour de la Saint-Barthélemy (du nom du saint, fêté sur le calendrier)

« Hélas qu’ai-je donc fait ?  — Si tu n’as rien fait, cela doit te consoler : tu mourras innocent ! »  

Réplique d’un capitaine suisse au jeune Saint-Martin, nuit du 23 au 24 août 1572

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