Croisades d’un autre âge (le Moyen Âge) contre les Infidèles (musulmans en Terre sainte) et autres hérétiques (cathares dans le Midi de la France), guerres civiles meurtrières et peu ou prou politiques opposant catholiques et protestants à la fin du XVIe siècle, conflit religieux hystérisé à propos de la laïcité en République (loi de 1905) … Et ça continue au XXIe siècle, avec l’Islam dans tous ses états.
Cliquez sur une citation pour la consulter dans son contexte historique.Retour à l’index
Affichage de 26 - 50 sur 59.« Saignez, saignez, la saignée est aussi bonne au mois d’août qu’au mois de mai ! »527
(1509-1573), 24 août 1572
(1537-1602), nonce apostolique, lettre au pape Grégoire XIII
« Il valait mieux que cela tombât sur eux que sur nous. »529
(1519-1589), Lettre à l’ambassadeur de Toscane à propos du massacre de la Saint-Barthélemy
(1550-1574), à Condé, le 24 août 1572
(1550-1574), Déclaration au Parlement de Paris convoqué le 26 août
« Chargez de la justification de cette action ceux qui vous ont donné le conseil de la commettre. »533
(1523-1599), à Charles IX
(1549-1623), Mémoires et correspondance de Duplessis-Mornay pour servir à l’histoire de la réformation et des guerres civiles et religieuses en France, sous les règnes de Charles IX, de Henri III, de Henri IV et de Louis XIII, depuis l’an 1571 jusqu’en 1623
« Périsse le souvenir de ce jour ! »535
(vers 1504-1573), évoquant la Saint-Barthélemy
(1524-1585), Le Tombeau du feu Roi Très Chrétien Charles IX - épitaphe
(1519-1589), à son fils Henri III, 1576
(1551-1589), Discours aux États généraux de Blois, 6 décembre 1576
« Je veux peindre la France une mère affligée, / Qui est, entre ses bras, de deux enfants chargée. »545
(1552-1630), Les Tragiques (1616)
« Si je n'étais huguenot, je me ferais Turc ! »560
(1553-1610), Lettre à Diane d’Andouins, dite la Belle Corisande, 8 mars 1588
« Mon Dieu qu’il est grand ! Il paraît encore plus grand mort que vivant. »566
(1551-1589), face au corps du duc de Guise, château de Blois, 23 décembre 1588
« C’est bien taillé mon fils ; maintenant il faut recoudre. »567
(1519-1589) à Henri III, château de Blois, 23 décembre 1588
« Ah ! le méchant moine, il m’a tué, qu’on le tue ! »573
(1551-1589), Saint-Cloud, 1er août 1589, « premier mot de la fin »
(1539-1596), Harangue de M. d’Aubray. La Satire Ménippée (1594)
« Bons chiens reviennent toujours à leur maître ! »618
(1553-1610), 19 mars 1590
« Sire, il ne faut plus tortignonner […] Avisez de choisir…»622
(1560-1641), à Henri IV, mars 1593
« La couronne vaut bien une messe. »623
(1560-1641), en 1593
(1553-1610), venant d’échapper à l’attentat de Jean Châtel, 27 décembre 1594