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« Et le Christ ? — C’est un anarchiste qui a réussi. C’est le seul. »11
(1901-1976), L’Espoir (1937)
(1859-1933), Vercingétorix (1902)
(vers 740-814) parlant de Charlemagne en 799
« Souviens-toi du vase de Soissons ! »72
(vers 466-511), vers 486
(1798-1874), Histoire de France, tome III (1840)
« Périsse le souvenir de ce jour ! »535
(vers 1504-1573), évoquant la Saint-Barthélemy
(né en 1929), L’État royal : de Louis XI à Henri IV, 1460-1610 (1987)
(1638-1715)
(1694-1778), Lettre à Mme du Deffand, novembre 1758, Correspondance (posthume)
(1709-1783), Or, écoutez, petits et grands, chanson (mai 1774)
« Ils sont toujours en retard d'une armée, d'une année et d'une idée. »1248
(1753-1801), jugeant la haute noblesse de son temps
« C’est à l’horloge de la France que vont […] sonner les premiers coups des nouveaux temps. »1288
(1923-1999), Les Hommes de la liberté, Le sang de la Bastille (1987)
« Les siècles finissent par avoir une poche de fiel. Cette poche crève. C’est Marat. »1301
(1802-1885), Quatre-vingt-treize (1874)
(1802-1885), Littérature et philosophie mêlées (1834)
(1749-1791), Assemblée nationale, 27 juin 1789
« Lorsque le roi brise son sceptre, ses serviteurs doivent briser leur épée ! »1361
(1749-1791), 4 février 1790 à l’Assemblée
(1749-1832), Aus meinem Lebe : Dichtung und Warheit - De ma vie : Poésie et Vérité (1811-1833), autobiographie
(1758-1794), Sur le parti à prendre à l’égard de Louis XVI, Convention, 3 décembre 1792
« Oui, la Gironde était républicaine […] Oui, sa proscription a été un malheur. »1508
(1747-1834), Mémoires (1830)
(1798-1874), Histoire de la Révolution française (1847-1853)
(1759-1794), réponse au Tribunal révolutionnaire, 2 avril 1794