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(1811-1832), mourant à 21 ans de tuberculose, 22 juillet 1832
« On ne tombe jamais que du côté où l’on penche. »2094
(1787-1874), Chambre des députés, 5 mai 1837
(1773-1850), Discours du trône, 27 décembre 1843
(1818-1883) et (1820-1895), Manifeste du parti communiste (1848)
(1809-1865), Idée générale de la Révolution au XIXe siècle (1851)
(1885-1970), Bloc-notes, IV (1965-1967) dans le journal L’Express
(1809-1865), Toast à la révolution du 17 octobre 1848
(1804-1876), Lettre à Joseph Mazzini, novembre 1848, Correspondance (posthume)
« Plus ça change, plus c'est la même chose. »2193
(1808-1890), titre de deux recueils d’articles, Les Guêpes, janvier 1849
(1787-1874), Mémoires pour servir à l’histoire de mon temps (1858-1867)
(1809-1865), De la capacité politique des classes ouvrières (posthume)
(1805-1859), L’Ancien Régime et la Révolution (1856)
« L’histoire a pour égout des temps comme les nôtres. »2257
(1802-1885), Les Châtiments (1853)
(1826-1920), en réponse à la déclaration de Gambetta, 4 septembre 1870
La Commune, Déclaration au peuple français, 19 avril 1871
« On ne peut pas tuer l’idée à coups de canon ni lui mettre les poucettes [menottes]. »2381
(1830-1905), La Commune, Histoire et souvenirs (1898)
(1859-1914), Histoire socialiste, 1789-1900, volume XI, La Commune, Louis Dubreuilh (1908)
(1818-1883), La Guerre civile en France (1871)
« Gloire aux pays où l'on parle, honte aux pays où l'on se tait. »2387
(1841-1929), Chambre des députés, 4 juin 1888
« Puisqu'elle [la Troisième République] gouverne peu, je lui pardonne de gouverner mal. »2390
(1844-1924), Histoire contemporaine (publiée de 1897 à 1901)
(1882-1924), La République des camarades (1913)
« Un édifice fondé sur des siècles d’histoire ne se détruit pas avec quelques kilos d’explosifs. »2502
(1842-1921), Réponse aux militants anarchistes inquiets de la faible portée des actes terroristes
« Ce sont les oies qui ont sauvé le Capitole. »2544
(1841-1929)