Les deux extrêmes souvent évoqués dans la même citation. Mais la vie et la mort n’ont pas le même sens hier et aujourd’hui. Cela vaut surtout pour la “ facilité ” avec laquelle on acceptait de mourir au combat comme au travail, de sacrifier sa propre vie ou celle des hommes faits pour “ ça ”. Après les Volontaires de l’An II sous la Révolution, les soldats au XXe siècle ont payé le plus lourd tribut pour la Liberté.
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Affichage de 26 - 50 sur 105.(1694-1778), citation apocryphe
« La journée sera rude ! »1145
(1715-1757), à qui sa condamnation est lue, 28 mars 1757
(1694-1778), Lettre à M. le Comte d’Argental, 23 juillet 1766, Correspondance (posthume)
(1721-1791), Mémoires de Besenval (posthume, 1805)
Chanson à la mort de Louis XV (1774)
(1694-1778), profession de foi manuscrite, 18 février 1778. « Mot de la fin » écrit
Épigramme, juin 1778, attribuée à
(1712-1778), à la mort de Voltaire
(1743-1793), L’Ami du peuple, décembre 1790
« Tout condamné à mort aura la tête tranchée. »1402
Loi du 6 octobre 1791
(1756-1819) aux massacreurs, 3 septembre 1792
« Louis doit mourir pour que la patrie vive. »1476
(1758-1794), « célèbre sentence »
« Fils de Saint Louis, montez au ciel. »1478
(1745-1807), confesseur de Louis XVI, au roi montant à l’échafaud, 21 janvier 1793
« Peuple, je meurs innocent ! »1479
(1754-1793), à la foule, place de la Révolution à Paris (aujourd’hui place de la Concorde), 21 janvier 1793
« Je pardonne aux auteurs de ma mort. Je prie Dieu que mon sang ne retombe pas sur la France. »1480
(1754-1793), au bourreau Sanson et à ses aides, 21 janvier 1793. « Second mot de la fin » du roi
(1754-1793), Mémoires (posthume, 1821)
(1758-1794) réaffirmant la terrible vocation du Tribunal révolutionnaire, Convention, Discours du 25 août 1793
(1757-1794), Le Père Duchesne, n° 299, titre du journal au lendemain du 16 octobre 1793
(1753-1793), guillotiné le 31 octobre 1793. Son mot de la fin