Place capitale dans l’histoire de France, disputée, jalousée, contestée, excessive… Ville Lumière qui fascine le monde et tête visée par l’ennemi en guerre, particulièrement exposée, menacée… Cœur de la contestation, qu’elle soit Fronde, Révolution, Commune de Paris, Front populaire, Mai 68…

Cliquez sur une citation pour la consulter dans son contexte historique.Retour à l’index

Affichage de 26 - 50 sur 65.

« Il faut que Paris soit réduit à un quatre-vingt-troisième d’influence comme chacun des autres départements. »1443

Marie David Albin LASOURCE (1763-1793), député du Tarn, Convention, 25 septembre 1792

« Ne craignez rien des départements, je les connais : avec un peu de terreur et des instructions, nous tournerons les esprits à notre gré. »1505

Jean Henri HASSENFRATZ (1755-1827), propos rapportés par Lanjuinais à la Convention, 30 mai 1793

« Les Alliés ! Je vais les écraser dans Paris. Il faut marcher sur la capitale sans tarder ! »1888

NAPOLÉON Ier (1769-1821), au château de Fontainebleau, 4 avril 1814

« L’aigle, avec les couleurs nationales, volera de clocher en clocher jusqu’aux tours de Notre-Dame. »1927

NAPOLÉON Ier (1769-1821), Golfe-Juan, Proclamation du 1er mars 1815

« Il faudra donner des chemins de fer aux Parisiens comme un jouet, mais jamais on ne transportera ni un voyageur ni un bagage. »2091

Adolphe THIERS (1797-1877), aux frères Pereire demandant une aide financière, 1836

« Sauver Paris, c'est plus que sauver la France, c'est sauver le monde. »2325

Victor HUGO (1802-1885), Pendant l’exil (écrits et discours de 1852-1870)

« Citoyens, j’avais dit : le jour où la République rentrera, je rentrerai. Me voici ! »2335

Victor HUGO (1802-1885), de retour à Paris, gare du Nord, 5 septembre 1870

« Nous mangeons du cheval, du rat, de l’ours, de l’âne. »2347

Victor HUGO (1802-1885), L’Année terrible (Lettre à une femme, janvier 1871)

« La ville de Paris est une personne trop puissante et trop riche pour que sa rançon ne soit pas digne d’elle. »2353

Otto von BISMARCK (1815-1898), le chancelier allemand qui fixe donc la « rançon » à au moins un milliard de franc, le 23 janvier 1871

Pages