(XVIIIe siècle), paroles, et (XVIIIe siècle), musique, Le Carillon national, chanson
(1743-1793), L’Ami du peuple, 7 octobre 1790
« Un peuple en état de révolution est invincible. »1405
(1755-1825), Législative, 29 novembre 1791
(1758-1794), Discours aux Jacobins, 2 janvier 1792
(1759-1794), à Grandpré, collaborateur du ministre de l’Intérieur Roland
« Nous avons le droit de dire aux peuples : vous n’aurez plus de rois. »1444
(1759-1794), Convention, 28 septembre 1792
« Que la pique du peuple brise le sceptre des rois ! »1447
(1759-1794), Convention, 4 octobre 1792
(1758-1794), Convention, 5 novembre 1792
Convention, Décret du 19 novembre 1792
« Foutre ! […] Il est bon que le peuple souverain s’accoutume à juger les rois. »1463
(1757-1794), Le Père Duchesne, décembre 1792
Acte d’accusation de Louis XVI, Convention, 11 décembre 1792
Complainte de Louis XVI aux Français, quand le verdict fatal est connu à la fin du procès, chanson anonyme
« Peuple, je meurs innocent ! »1479
(1754-1793), à la foule, place de la Révolution à Paris (aujourd’hui place de la Concorde), 21 janvier 1793
« Soyons terribles pour dispenser le peuple de l’être. »1490
(1759-1794), Discours, Convention, 9 mars 1793
(1754-1793), Lettre au ministre de l’Intérieur, 20 juin 1793, prison de l’Abbaye
« Après le pain, l’éducation est le premier besoin d’un peuple. »1515
(1759-1794), Discours sur l’Éducation, 13 août 1793
« Ici repose Marat, l'Ami du Peuple, assassiné par les ennemis du peuple, le 13 juillet 1793. »1520
Épitaphe sur la tombe de Marat
(fin du XVIIIe siècle), citoyen de la section Luxembourg, La Mort de Marat, chanson, 1793
« Je meurs le jour où le peuple a perdu la raison ; vous mourrez le jour où il l’aura recouvrée. »1550
(1763-1793), mot de la fin, 31 octobre 1793
(1758-1794), Discours « Sur les principes de morale politique qui doivent guider la Convention », Convention, 7 février 1794
« Tu montreras ma tête au peuple, elle en vaut bien la peine. »1584
(1759-1794), mot de la fin au bourreau, avant de poser sa tête sous le couperet de la guillotine, 5 avril 1794
« Le peuple français reconnaît l'existence de l'Être suprême et l'immortalité de l'âme. »1586
(1758-1794), Convention, Rapport du 7 mai 1794 (décret du 18 floréal an II)