« Notre saint père est un dindonLe calotin est un friponNotre archevêque un scélérat / Alleluya. »1250
Première chanson anticléricale attaquant le pape (sans titre, et sans auteur)
(1758-1794), Discours sur le gouvernement intérieur, Convention nationale, 1794
(1757-1834), à la foule, Versailles, 6 octobre 1789
« Je fais assez ce que tout le monde désire pour qu’on fasse une fois ce que je veux ! »1406
(1754-1793), 19 décembre 1791
« Fils de Saint Louis, montez au ciel. »1478
(1745-1807), confesseur de Louis XVI, au roi montant à l’échafaud, 21 janvier 1793
(1759-1794), Discours devant le Comité révolutionnaire de Castres, printemps 1793
« Le peuple français reconnaît l'existence de l'Être suprême et l'immortalité de l'âme. »1586
(1758-1794), Convention, Rapport du 7 mai 1794 (décret du 18 floréal an II)
(1769-1821), Déclaration au Conseil d’État, 1er août 1800
« Les conquérants habiles ne sont jamais brouillés avec les prêtres. »1719
(1769-1821), Lettre à Lucien Bonaparte, ambassadeur à Madrid, 18 avril 1801
(1871-1956), De Brumaire à Marengo, Histoire du Consulat et de l’Empire, tome III (1938)
« Votre Sainteté est souveraine de Rome, mais j’en suis l’Empereur. »1812
(1769-1821), Lettre à Sa Sainteté le Pape, Paris, 13 février 1806
(1772-1851), Catéchisme à l’usage de toutes les Églises de l’Empire français, 4 août 1806
« C’est la dernière fois que j’entre en discussion avec cette prêtraille romaine. »1829
(1769-1821), Lettre à Eugène de Beauharnais, 22 juillet 1807
(1769-1821), au vice-Amiral Decrès, ministre de la Marine, 22 mai 1808
« Que voulez-vous, mon cher, la religion se perd ! »1837
(1754-1838), à Fouché, en 1809
Les hérauts à la population, 10 juin 1809
« Je sais qu’il faut rendre à Dieu ce qui est à Dieu, mais le Pape n’est pas Dieu. »1852
(1769-1821) au Comité ecclésiastique, Paris, 16 mars 1811
(1769-1821), aux Pères conciliaires, 17 juin 1811
« C'est nous qui fessons, et qui refessons, Les jolis petits, les jolis garçons. »1967
(1780-1857), Les Révérends Pères, chanson
« L’époque actuelle sera difficile à expliquer à nos arrière-neveux. »1997
Le Constitutionnel, à propos de la loi sur le sacrilège, avril 1825