1789, fin de l’Ancien Régime. La France entre en République avec la devise Liberté-Égalité-Fraternité, l’Assemblée nationale, une Constitution et le pouvoir au peuple - la démocratie. Des têtes d’affiche se succèdent à la tribune, Mirabeau, Danton, Robespierre. Malgré la Terreur et la suite - deux empires, deux monarchies -, la Révolution (française) marque un progrès irréversible, exemplaire pour le monde.
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Affichage de 101 - 125 sur 176.(1759-1794), Discours devant le Comité révolutionnaire de Castres, printemps 1793
(1753-1793), appel au secours du 4 mai 1793
(1755-1827), propos rapportés par Lanjuinais à la Convention, 30 mai 1793
« Nous voulons les traîtres ! À la guillotine, les Brissotins ! »1507
Cris des gardes nationaux, 2 juin 1793
« Oui, la Gironde était républicaine […] Oui, sa proscription a été un malheur. »1508
(1747-1834), Mémoires (1830)
(1754-1793), Mémoires (posthume, 1821)
(1754-1793), Lettre au ministre de l’Intérieur, 20 juin 1793, prison de l’Abbaye
« Les tyrans peuvent me persécuter : mais m’avilir ? Jamais, jamais ! »1518
(1754-1793), Lettre à Buzot
(1768-1793), Adresse aux Français, amis des lois et de la paix
(1768-1793), à son procès devant le Tribunal révolutionnaire, 17 juillet 1793
(1763-1794), 4 septembre 1793 à la Commune de Paris (Hôtel de Ville)
(1750-1831), Écrits sur les Noirs (1789-1808)
« Le citoyen Jésus-Christ a été le premier sans-culotte du monde. »1536
(1759-1794), Discours, 7 septembre 1793
« Nous aurons le temps d’être humains lorsque nous serons vainqueurs. »1537
(1759-1794), Circulaire du Comité de salut public. « À Carrier », 29 septembre 1793
(1756-1819), Convention, 3 octobre 1793
« Ils peuvent être mes bourreaux, mais ils ne seront jamais mes juges. »1539
(1755-1793), apprenant qu’elle va être jugée par le Tribunal révolutionnaire, début octobre 1793
(1767-1794), Convention, 10 octobre 1793
(1746-1795), Acte d’accusation de Marie-Antoinette, Tribunal révolutionnaire, 14 octobre 1793
(1757-1794), Le Père Duchesne, n° 299, titre du journal au lendemain du 16 octobre 1793
« Citoyen président, je suis ici pour être raccourci et non pour être allongé. »1544
(1776-1830) au Tribunal révolutionnaire, automne 1793
(1753-1793), guillotiné le 31 octobre 1793. Son mot de la fin
« Je meurs le jour où le peuple a perdu la raison ; vous mourrez le jour où il l’aura recouvrée. »1550
(1763-1793), mot de la fin, 31 octobre 1793