1789, fin de l’Ancien Régime. La France entre en République avec la devise Liberté-Égalité-Fraternité, l’Assemblée nationale, une Constitution et le pouvoir au peuple - la démocratie. Des têtes d’affiche se succèdent à la tribune, Mirabeau, Danton, Robespierre. Malgré la Terreur et la suite - deux empires, deux monarchies -, la Révolution (française) marque un progrès irréversible, exemplaire pour le monde.
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Affichage de 126 - 150 sur 176.(1798-1874), Histoire de la Révolution française (1847-1853)
« Enfants de la Patrie, vous vengerez ma mort. »1552
(1748-1793), guillotinée le 3 novembre 1793. Son mot de la fin
(1763-1794), au club des Jacobins, novembre 1793
« Liberté, que de crimes on commet en ton nom ! »1554
(1754-1793), montant à l’échafaud et s’inclinant devant la statue de la Liberté (sur la place de la Révolution), 8 novembre 1793. Mot de la fin
« Oui ! Je tremble, mais c’est de froid. »1555
(1736-1793), mot de la fin, avant son exécution dont les préparatifs s’éternisent, 12 novembre 1793
(1759-1820), à Saint-Just, novembre 1793
Proclamation signée
(1767-1794) et (1764-1794), 15 novembre 1793
« Bien, je n’aurai pas besoin de sable. »1562
(1771-1813), au siège de Toulon, décembre 1793
« Le gouvernement de la Révolution est le despotisme de la liberté contre la tyrannie. »1569
(1758-1794), Discours « Sur les principes de morale politique qui doivent guider la Convention », Convention, 5 février 1794
(1758-1794), Discours « Sur les principes de morale politique qui doivent guider la Convention », Convention, 5 février 1794
Reflet de l’état d’esprit du sans-culotte et du terrorisme légal
(1768-1848), Mémoires d’outre-tombe (posthume)
(1759-1794), réponse au Tribunal révolutionnaire, 2 avril 1794
(1760-1794), au Tribunal révolutionnaire lui demandant son nom, son âge, 2 avril 1794
« Tu montreras ma tête au peuple, elle en vaut bien la peine. »1584
(1759-1794), mot de la fin au bourreau, avant de poser sa tête sous le couperet de la guillotine, 5 avril 1794
« Échafaud. – S’arranger quand on y monte pour prononcer quelques mots éloquents avant de mourir. »1585
(1821-1880), Dictionnaire des idées reçues (posthume, 1913)
« Le peuple français reconnaît l'existence de l'Être suprême et l'immortalité de l'âme. »1586
(1758-1794), Convention, Rapport du 7 mai 1794 (décret du 18 floréal an II)
« Les têtes tombaient comme des ardoises. »1595
(1746-1795), après la loi du 22 prairial an II (10 juin 1794)
Portrait du sans-culotte, chanson anonyme
« Hélas ! je n’ai rien fait pour la postérité ; et pourtant, j’avais quelque chose là. »1599
(1762-1794), se frappant le front avant de monter à l’échafaud, 25 juillet 1794. Mot de la fin d’un poète
(1753-1821), Considérations sur la France (1796)
La Carmagnole de Fouquier-Tinville, mai 1795, chanson
(1748-1820), Remettez vos culottes ou Conseils aux sans-culottes, chanson de l'automne 1795