« On a tout avec de l’argent, hormis des mœurs et des citoyens. »985
(1712-1778), Discours sur les sciences et les arts (1750)
(1712-1778), Correspondance, à M. Moulton
« Depuis l’Évangile jusqu’au Contrat social, ce sont les livres qui ont fait les révolutions. »1000
(1754-1840), Mélanges littéraires, politiques et philosophiques, « Sur les éloges historiques de MM. Séguier et de Malesherbes »
(1758-1794), Discours aux Jacobins (1792)
(1712-1778), Les Rêveries d’un promeneur solitaire (posthume, 1782)
« La nature a fait l'homme heureux et bon, mais […] la société le déprave et le rend misérable. »1035
(1712-1778), Dialogues : Rousseau juge de Jean-Jacques (1772-1776)
(1712-1778), Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755)
« Vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n’est à personne ! »1037
(1712-1778), Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755)
« L'homme est né libre et partout il est dans les fers. »1039
(1712-1778), Du contrat social, Préambule (1762)
« Toute loi que le peuple en personne n’a pas ratifiée est nulle ; ce n’est point une loi. »1044
(1712-1778), Du contrat social (1762)
(1712-1778), Du contrat social (1762)
(1712-1778), Profession de foi du Vicaire savoyard (1762)
« Il n’y a qu’une science à enseigner aux enfants, c’est celle des devoirs de l’homme. »1050
(1712-1778), L’Émile ou De l’éducation (1762)
« La femme est faite pour céder à l’homme et pour supporter même son injustice. »1051
(1712-1778), L’Émile ou De l’éducation (1762)
(1712-1778), L’Émile ou De l’éducation (1762)
(1694-1778), Lettre à Jean-Jacques Rousseau, 30 août 1755, Correspondance (posthume)
« S’ils n’ont pas de pain, qu’ils mangent de la brioche. »1217
Mot attribué – sans doute à tort – à
(1755-1793), et incontestablement emprunté à (1712-1778)
Épigramme, juin 1778, attribuée à
(1712-1778), à la mort de Voltaire