La Terreur est une période de la Révolution française (1793-94), mais la terreur est une constante dans l’histoire, avec les guerres, les attentats… toutes les formes de violence et de terrorisme qui font aujourd’hui encore la une de l’actu, avec les attentats.
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Affichage de 51 - 75 sur 83.(1758-1794), Discours « Sur les principes de morale politique qui doivent guider la Convention », Convention, 5 février 1794
Reflet de l’état d’esprit du sans-culotte et du terrorisme légal
(1768-1848), Mémoires d’outre-tombe (posthume)
« Ce qui constitue une République, c’est la destruction totale de ce qui lui est opposé. »1576
(1767-1794), Convention, Rapport du 26 février 1794 (premier décret de ventôse)
« Ceux qui font les révolutions à moitié n’ont fait que se creuser un tombeau. »1577
(1767-1794), Convention, Rapport du 26 février 1794 (premier décret de ventôse)
(fin du XVIIIe siècle), Impromptu sur le raccourcissement du Père Duchesne, printemps 1794, chanson
« Les têtes tombaient comme des ardoises. »1595
(1746-1795), après la loi du 22 prairial an II (10 juin 1794)
« Hélas ! je n’ai rien fait pour la postérité ; et pourtant, j’avais quelque chose là. »1599
(1762-1794), se frappant le front avant de monter à l’échafaud, 25 juillet 1794. Mot de la fin d’un poète
(1758-1794), Convention, Discours du 26 juillet 1794
(1756-1819), Convention, 27 juillet 1794
(1753-1821), Considérations sur la France (1796)
(1759-1820), ministre de la Police, 1er janvier 1801
« L’air est plein de poignards. »1741
(1759-1820), mi-janvier 1804
« Soldats, droit au cœur ! »1965
(1769-1815), commandant lui-même son peloton d’exécution, 7 décembre 1815. Son mot de la fin
« Si M. de Robespierre vient, vous lui direz que je n’y suis pas. »2080
(1748-1836), à son valet de chambre
« Grâce encore une fois ! Grâce au nom de la tombe,Grâce au nom du berceau. »2099
(1802-1885), « Au roi Louis-Philippe, après l’arrêt de mort prononcé le 12 juillet 1839. »
(1809-1865), Idée générale de la Révolution au XIXe siècle (1851)
(1805-1859), L’Ancien Régime et la Révolution (1856)
La Commune, Déclaration au peuple français, 19 avril 1871
« Il s'agit aujourd'hui non plus de couper les têtes, mais d'ouvrir les intelligences. »2371
(1831-1913), Le Mot d’ordre, 5 mai 1871
« Le bon Dieu est trop Versaillais. »2378
(1830-1905), La Commune, Histoire et souvenirs (1898)
(1861-1894), Déclaration à la police qui l’interroge, après l’attentat qu’il a perpétré, le 9 décembre 1893