Surnommé “ le Désiré ” par le peuple, quand il devient roi à 20 ans, il finira guillotiné à 38 ans, payant pour tous les crimes de l’Ancien Régime. Il lui aurait fallu “ de la force et du génie ” (parole du roi de Prusse) pour gérer la situation quasi désespérée de la France. La Révolution sera logiquement la plus forte.
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(1754-1793), Réflexions sur les entretiens avec le duc de La Vauguyon
(1755-1824), entretien avec le comte de La Marck
(1754-1793), Lettre à Marie-Antoinette
« Il ne faut pas être plus royaliste que le roi. »
Phrase en vogue sous Louis XVI, et devenue proverbe
« Mon Dieu, guidez-nous, protégez-nous, nous régnons trop jeunes ! »
(1754-1793) et (1755-1793), Versailles, 10 mai 1774
(1709-1783), Or, écoutez, petits et grands, chanson (mai 1774)
Les Édits (1776), chanson des Jacques Bonhomme de France
(1754-1793), qui vient de lire Le Mariage de Figaro avant sa création sur scène
(1754-1793), Lettre à M. de Malesherbes, 13 décembre 1786
(1749-1791), au marquis de Dreux-Brézé, salle du Jeu de paume, 23 juin 1789
« Mais c’est une révolte ? — Non, Sire, c’est une révolution ! »
Réponse du (1747-1827), à (1754-1793), réveillé le soir du 14 juillet, à Versailles
« Le silence des peuples est la leçon des rois. »
(1749-1791), Constituante, Versailles, 15 juillet 1789
(1754-1793), au matin du 6 octobre 1789 à Versailles
« Lorsque le roi brise son sceptre, ses serviteurs doivent briser leur épée ! »
(1749-1791), 4 février 1790 à l’Assemblée
« Le roi n’a qu’un homme, c’est sa femme. »
(1749-1791)
(1754-1793), Lettre à M. de Bouillé, 3 juillet 1791
« Sire… Votre Majesté a fini la Révolution. »
(1746-1794), Proclamation du 30 septembre 1791 à la Constituante
« Que la nation reprenne son heureux caractère. »
(1754-1793), à la Constituante, 30 septembre 1791
« Je fais assez ce que tout le monde désire pour qu’on fasse une fois ce que je veux ! »
(1754-1793), 19 décembre 1791