Vos 5 citations préférées de la semaine
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Il est toujours question d’armée, mais en d’autres mots, sur un autre ton, parfois en chanson. Toutes les Chroniques sont concernées, depuis le Siècle des Lumières. Voici quelques exemples, entre une centaine !
De Gaulle, en deux guerres (Seconde Guerre mondiale, guerre d’Algérie) et beaucoup d’armées différentes.
Sauveur de la France à deux reprises, d’où l’immense prestige du personnage, il a par ailleurs le sens du Mot toujours en situation (commentaires en Chronique) et un langage naturellement militaire…
Clemenceau et la Grande Guerre.
C’est l’un des paradoxes de l’Histoire. Il méprise l’armée, en tout cas la plupart de ses chefs, mais devient chef de guerre hors pair, payant de sa personne et allant dans les tranchées.
L’explication tient en une courte citation. Ensuite, l’Histoire se déroule, en une année terrible.
Révolution, période capitale de notre histoire. En cinq ans, la France passe de l’Ancien Régime à un monde nouveau. L’armée vit le même bouleversement, résumé en quelques citations - toujours commentées en Chronique.
L’armée de Napoléon : Napoléon et sa Grande Armée.
C’est toute une histoire dans l’Histoire de France ! Le thème fait toujours débat - comme le personnage. Voici quelques citations extraites du Dictionnaire (et de la Chronique).
Armée au cœur de l’actu.
19 janvier. Le président Macron, chef des armées, dévoile à Toulon les grands choix de la prochaine loi de programmation militaire (2019 -2025) pour « une France forte ». À suivre en février, au Conseil des ministres et au Parlement.
Sortie du Dictionnaire de notre Histoire en citations, belle occasion d’évoquer l’armée dans tous ses états.
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Acte VI. Épilogue.
Après la mort du roi, il n’y a plus de limite, plus rien de sacré. Engrenage de la violence, implacable logique et vertige de la Terreur bien vu par les témoins. Quant à l’analyse des « événements », elle divise les contemporains comme les historiens. Seule évidence, il y un avant et un après. L’Histoire en citations en rend compte.
Acte V. La guerre de Vendée, suite à la mort du roi.
Conséquence directe, imprévue sinon imprévisible, cette guerre civile déchire le pays. Guerre de Vendée et guerre des Chouans (mêmes causes, mêmes effets, en Bretagne et Normandie) feront quelque 600 000 morts, dont 210 000 civils exécutés, 300 000 morts de faim et de froid (100 000 enfants). Ce génocide (mot de certains historiens) est le plus lourd bilan au passif de la Révolution.