Regnard : « J'aime un amour fondé sur un bon coffre-fort... »
Argent bien vu, argent mal vu, on n’a pas fini d’en parler ! Aujourd’hui comme hier, ce thème concerne ceux qui en ont (trop) et ceux qui n’en n’ont pas (assez).
Argent bien vu, argent mal vu, on n’a pas fini d’en parler ! Aujourd’hui comme hier, ce thème concerne ceux qui en ont (trop) et ceux qui n’en n’ont pas (assez).
Hommage et référence à son journal, L’Ami du peuple. Haï (et redouté) de tous ses confrères comme de la France paysanne et bourgeoise, Marat fut idolâtré des sans-culottes de Paris.
Élu député, siégeant au sommet de la Montagne, président du club des Jacobins depuis le 5 avril 1793, Marat devient chaque jour plus redoutable, accusant, calomniant, injuriant, éructant.
Dans la galerie des révolutionnaires, Marat, c’est le méchant. Pas un ami de son vivant. Pas un historien pour en faire un héros. Pas un théoricien pour se dire « maratiste », comme on peut être dantoniste ou robespierriste.
Le lendemain débute la semaine des « accords Matignon » entre représentants du patronat français et de la CGT. Les acquis sociaux du Front populaire prouvent que cette stratégie était la bonne : reconnaissance du droit syndical, institution de contrats collectifs de travail, de délégués du personnel ; et semaine de 40 heures, congés payés de deux semaines, augmentation de salaires de 7 à 15%.
Anonyme, interdit sous la Grande Guerre pour son antimilitarisme, ce chant dit les souffrances des soldats, en révolte contre les attaques inutiles et meurtrières lancées par des chefs comme Nivelle.
Grèves et autres manifestations de résistance en France. Des plus violentes (et tragiques) aux plus festives, toutes les formes sont possibles. Chaque époque réinvente son opposition. Parfois, l’Actu rentre dans l’Histoire. Les deux derniers siècles sont en cela exemplaires !
Sous la Restauration, le plus célèbre chansonnier contemporain vise les jésuites, de retour avec la monarchie.