L’histoire offre tous les exemples d’affaires judiciaires et de procès - politiques, religieux, civils et criminels. La mort, l’exil, le discrédit, toutes les peines peuvent toucher les coupables… ou les victimes, en cas d’erreurs judiciaires. Voir la plus célèbre Affaire (Dreyfus). Grâce aux lois, aux médias, la justice a fait d’incontestables progrès.
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Affichage de 26 - 50 sur 79.« Nous avons plus grand besoin d’un vaisseau que d’un collier. »1238
(1755-1793), aux joailliers de la couronne, Boehmer et Bassenge
« Notre Saint Père l’a rougi,Le roi de France l’a noirci,Le Parlement le blanchira,Alleluya. »1241
Alleluya sur l’affaire du Collier (1786), chanson
Pamphlet contre la reine. Vers 1785
(1745-1794), conseiller au Parlement
(1758-1794), Sur le parti à prendre à l’égard de Louis XVI, Convention, 3 décembre 1792
(1754-1793), après la plaidoirie de son avocat Romain Desèze, 26 décembre 1792
« Louis doit mourir pour que la patrie vive. »1476
(1758-1794), « célèbre sentence »
(1743-1793) au Tribunal révolutionnaire, 24 avril 1793
(1768-1793), à son procès devant le Tribunal révolutionnaire, 17 juillet 1793
(1758-1794) réaffirmant la terrible vocation du Tribunal révolutionnaire, Convention, Discours du 25 août 1793
(1756-1819), Convention, 3 octobre 1793
« Ils peuvent être mes bourreaux, mais ils ne seront jamais mes juges. »1539
(1755-1793), apprenant qu’elle va être jugée par le Tribunal révolutionnaire, début octobre 1793
(1746-1795), Acte d’accusation de Marie-Antoinette, Tribunal révolutionnaire, 14 octobre 1793
(1755-1793), réplique à un juré s’étonnant de son silence au sujet de l’accusation d’inceste, Tribunal révolutionnaire, 14 octobre 1793
(1757-1794), Le Père Duchesne, n° 299, titre du journal au lendemain du 16 octobre 1793
« Est-ce qu’on emporte la patrie à la semelle de ses souliers ? »1579
(1759-1794), à son ami Legendre qui le prévient du danger et l’exhorte à s’enfuir à l’étranger, mars 1794
(1760-1794), au Tribunal révolutionnaire lui demandant son nom, son âge, 2 avril 1794
« Grâce encore une fois ! Grâce au nom de la tombe,Grâce au nom du berceau. »2099
(1802-1885), « Au roi Louis-Philippe, après l’arrêt de mort prononcé le 12 juillet 1839. »
« Jadis on était décoré et content. Aujourd’hui on n’est décoré que comptant ! »2486
(1857-1922), Le Gaulois, 7 octobre 1887
(1829-1892), Ah ! quel malheur d’avoir un gendre (1887), chanson
« Il est mort comme il a vécu : en sous-lieutenant. »2499
(1841-1929), apprenant le suicide du général Boulanger sur la tombe de sa maîtresse à Ixelles (Belgique), le 30 septembre 1891
« La plus grande flibusterie du siècle… De l’or, de la boue et du sang. »2505
(1844-1917), La Libre Parole, septembre 1892