Danton : « Soyons terribles pour dispenser le peuple de l’être. »
Révolution. Convention nationale (suite)
Assemblée divisée à l’image du pays, Girondins (provinciaux) contre Montagnards (parisiens), Danton et Marat étant plus personnellement visés.
Danton est toujours Montagnard et favorable au nouveau Tribunal révolutionnaire plus expéditif, mais déjà contesté par ses confrères, à commencer par Robespierre.
La grande affaire politique du printemps 1793, c’est quand même la scission entre Montagnards et Girondins, qui rêvaient d’une Révolution sous le signe de l’amour et voient venir la Terreur, incarnée par le personnage de Marat.
« L’Ami du peuple », député d’extrême-gauche de plus en plus fanatique, est mis en accusation, mais sauvé par les sans-culottes… et tout devient possible.