L’Histoire en citations | Page 20 | Bienvenue sur le site où l’Histoire donne la parole à ceux qui l’ont faite.
Édito de la semaine

Napoléon, super-star de l'histoire (3e épisode : l’empereur absolu, pour le meilleur et pour le pire)

La question n’est pas : faut-il commémorer le bicentenaire de sa mort ? Évidemment oui !!!

Mais comment commémorer ? En disant « tout », la légende dorée du héros et la légende noire de l’Ogre corse, ses convictions proclamées et ses doutes avoués, ses contradictions évidentes et ses pensées intimes…

Troisième épisode : l’empereur absolu, pour le meilleur et pour le pire.

Édito de la semaine

Napoléon, super-star de l'histoire (2e épisode : un quinquennat éblouissant)

La question n’est pas : faut-il commémorer le bicentenaire de sa mort ? Évidemment oui !!!

Mais comment commémorer ? En disant « tout », la légende dorée du héros et la légende noire de l’Ogre corse, ses convictions proclamées et ses doutes avoués, ses contradictions évidentes et ses pensées intimes…

Deuxième épisode : un quinquennat éblouissant.

Édito de la semaine

Napoléon, super-star de l'histoire (1er épisode : autoportrait et entrée dans l’Histoire)

La question n’est pas : faut-il commémorer le bicentenaire de sa mort ? Évidemment oui !!!

Mais comment commémorer ? En disant « tout », la légende dorée du héros et la légende noire de l’Ogre corse, ses convictions proclamées et ses doutes avoués, ses contradictions évidentes et ses pensées intimes…

Premier épisode : autoportrait et entrée dans l’Histoire.

Édito de la semaine

La Terre dans tous ses états (de la Révolution à nos jours)

22 avril 2021. La Journée mondiale de la Terre fête son 50è anniversaire. Cela vaut bien un édito en deux semaines. Mais de quelle terre parle-t-on ?

Plutôt que de recourir aux définitions plus ou moins théoriques, un survol historique va nous donner les principaux repères, dans l’action et par l’exemple.

Terre des paysans, patrie des patriotes ou Planète des terriens ; terre abstraite des scientifiques, des philosophes ou des poètes ; terre à conquérir pour agrandir le bien nommé « territoire » et coloniser l’Outremer ou terre à défendre au fil des guerres périodiques ; terre nourricière pour tout le peuple ou Terre sainte chère aux chrétiens du Moyen Âge ; terre possédée en bien propre par le paysan, le seigneur, l’exploitant agricole ou terre-Monde plus ou moins fantasmée ; terre des vivants opposés aux morts ou terre opposée au ciel et à la mer…

La Terre est tout cela, réalité à géométrie variable, mais à vive sensibilité ! Dernier exemple en date, la terre malade de l’homme et de son exploitation déraisonnée est devenue préoccupation écologique mondiale au XXIe siècle.

Une centaine de citations vont illustrer à la fois l’importance de la terre, l’évolution du concept et la réalité des faits.

Édito de la semaine

La Terre dans tous ses états (Avant la Révolution)

22 avril 2021. La Journée mondiale de la Terre fête son 50è anniversaire. Cela vaut bien un édito en deux semaines. Mais de quelle terre parle-t-on ?

Plutôt que de recourir aux définitions plus ou moins théoriques, un survol historique va nous donner les principaux repères, dans l’action et par l’exemple.

Terre des paysans, patrie des patriotes ou Planète des terriens ; terre abstraite des scientifiques, des philosophes ou des poètes ; terre à conquérir pour agrandir le bien nommé « territoire » et coloniser l’Outremer ou terre à défendre au fil des guerres périodiques ; terre nourricière pour tout le peuple ou Terre sainte chère aux chrétiens du Moyen Âge ; terre possédée en bien propre par le paysan, le seigneur, l’exploitant agricole ou terre-Monde plus ou moins fantasmée ; terre des vivants opposés aux morts ou terre opposée au ciel et à la mer…

La Terre est tout cela, réalité à géométrie variable, mais à vive sensibilité ! Dernier exemple en date, la terre malade de l’homme et de son exploitation déraisonnée est devenue préoccupation écologique mondiale au XXIe siècle.

Une centaine de citations vont illustrer à la fois l’importance de la terre, l’évolution du concept et la réalité des faits.

Édito de la semaine

Honneur aux perdant(e)s ! (De la Troisième République à nos jours)

Voici 46 cas, autant de situations différentes et souvent dramatiques.

  • Perdre la vie, perdre une bataille ou une place enviée, perdre un combat idéologique, perdre la confiance du peuple ou d’un partenaire essentiel, perdre la face et l’honneur.
  • Perdre parce qu’on est faible ou qu’on se croit trop fort, perdre par malchance, par injustice ou par la force des choses et du sens de l’Histoire : Louis XVI sous la Révolution.
  • Perdre individuellement, mais aussi en groupe (les femmes, les Templiers, les Girondins sous la Révolution, les canuts de Lyon, la Commune de Paris).

Certains cas semblent anecdotiques ou paradoxaux – nous assumons, avec des arguments.

Malgré tout, ces perdantes et perdants sont honorés à des titres divers.

« Aux grands hommes, la patrie reconnaissante » : le Panthéon leur fait place.

Édito de la semaine

Honneur aux perdant(e)s ! (De l’Empire à la Deuxième République)

Voici 46 cas, autant de situations différentes et souvent dramatiques.

  • Perdre la vie, perdre une bataille ou une place enviée, perdre un combat idéologique, perdre la confiance du peuple ou d’un partenaire essentiel, perdre la face et l’honneur.
  • Perdre parce qu’on est faible ou qu’on se croit trop fort, perdre par malchance, par injustice ou par la force des choses et du sens de l’Histoire : Louis XVI sous la Révolution.
  • Perdre individuellement, mais aussi en groupe (les femmes, les Templiers, les Girondins sous la Révolution, les canuts de Lyon, la Commune de Paris).

Certains cas semblent anecdotiques ou paradoxaux – nous assumons, avec des arguments.

Malgré tout, ces perdantes et perdants sont honorés à des titres divers.

« Aux grands hommes, la patrie reconnaissante » : le Panthéon leur fait place.

Édito de la semaine

La Commune, ou l’autre Révolution

Question parfois posée : faut-il commémorer Napoléon ou la Commune ?

Il n’y a pas à choisir : pour l’Histoire en citations, les deux s’imposent à un mois d’intervalle.

Proclamée « officiellement » le 28 mars 1871, la Commune de Paris se termine par la « Semaine sanglante » du 22 au 28 mai. Exécutions et répression, au total peut-être 100 000 morts : c’est l’un des plus terribles massacres de l’Histoire.
La Commune a beaucoup de points communs avec la Révolution.

Contexte guerrier omniprésent – installation simultanée d’une nouvelle République - rôle majeur du Paris populaire et prompt aux barricades - mélange du pire et du meilleur, la violence jusqu’à la Terreur et une fécondité législative remarquable – jugements portés très différents sur le moment et postérieurement aux événements – retombées historiques importantes. 

Autre point commun : au fil de l’Histoire, la France a multiplié les « Communes » et les « Révolutions ». Mais la Commune et la Révolution (sans autre précision) restent chacune unique en son genre.
Seule différence : tout se passe en deux mois au lieu de six ans.

En un édito d’une semaine, nous allons rendre compte de la Commune avec une chronique des faits au jour le jour, précédée d’un prologue évoquant le contexte national tragique des six mois précédents, l’épilogue résumant en quelques citations le regard de l’Histoire.

Édito de la semaine

Honneur aux perdant(e)s ! (Du règne d’Henri IV à la Révolution)

Voici 46 cas, autant de situations différentes et souvent dramatiques.

  • Perdre la vie, perdre une bataille ou une place enviée, perdre un combat idéologique, perdre la confiance du peuple ou d’un partenaire essentiel, perdre la face et l’honneur.
  • Perdre parce qu’on est faible ou qu’on se croit trop fort, perdre par malchance, par injustice ou par la force des choses et du sens de l’Histoire : Louis XVI sous la Révolution.
  • Perdre individuellement, mais aussi en groupe (les femmes, les Templiers, les Girondins sous la Révolution, les canuts de Lyon, la Commune de Paris).

Certains cas semblent anecdotiques ou paradoxaux – nous assumons, avec des arguments.

Malgré tout, ces perdantes et perdants sont honorés à des titres divers.

« Aux grands hommes, la patrie reconnaissante » : le Panthéon leur fait place.

Édito de la semaine

Honneur aux perdant(e)s ! (de la Gaule aux guerres de Religion)

(Saintes et guerrières, féministes et révolutionnaires, reines, favorites et mécènes ou impératrice, les femmes jouent à égalité avec les hommes jusqu’à l’Empire).

Voici 46 cas, autant de situations différentes et souvent dramatiques.

  • Perdre la vie, perdre une bataille ou une place enviée, perdre un combat idéologique, perdre la confiance du peuple ou d’un partenaire essentiel, perdre la face et l’honneur.
  • Perdre parce qu’on est faible ou qu’on se croit trop fort, perdre par malchance, par injustice ou par la force des choses et du sens de l’Histoire : Louis XVI sous la Révolution.
  • Perdre individuellement, mais aussi en groupe (les femmes, les Templiers, les Girondins sous la Révolution, les canuts de Lyon, la Commune de Paris).

Certains cas semblent anecdotiques ou paradoxaux – nous assumons, avec des arguments.

Malgré tout, ces perdantes et perdants sont honorés à des titres divers.

« Aux grands hommes, la patrie reconnaissante » : le Panthéon leur fait place.

Ils se retrouvent ici et là statufiés ou s’inscrivent dans la toponymie de nos rues, nos places, notre environnement quotidien. Ils figurent dans les livres d’histoire et les dictionnaires, renaissent dans des œuvres de fiction littéraire, théâtrale, lyrique.

La sanctification honore volontiers les femmes, Blandine, Geneviève, Jeanne (d’Arc).

Parfois, les perdants font école, créant un courant d’idées, une théorie, voire une religion qui change le monde – Jésus-Christ, l’exemple « incroyable mais vrai ».

Autant de « qui perd gagne » permettant une revanche posthume.

On peut en tirer une petite philosophie de l’Histoire et réfléchir au travail de mémoire dont on parle tant. C’est le but de nos éditos et la preuve que les citations bien choisies se révèlent toujours utiles. C’est aussi l’occasion de démentir deux personnages exceptionnellement réunis : « À la fin, il n’y a que la mort qui gagne. » 2980
Charles de GAULLE (1890-1970), citant volontiers ce mot de STALINE dans ses Mémoires de guerre.

(Toutes les citations numérotées sont comme toujours tirées de notre Histoire en citations)

Pages

La collection

Les Chroniques…

Les Chroniques, en 10 volumes, racontent l’histoire de France de la Gaule à nos jours, en 3 500 citations numérotées, sourcées, replacées dans leur contexte, et signées par près de 1 200 auteurs.

… et le Dictionnaire

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L'Histoire en citations - Second Empire et Troisième République

L'Histoire en citations - Seconde Guerre mondiale et Quatrième République

L'Histoire en citations - Siècle de Louis XIV

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