Vos 5 citations préférées de la semaine
Découvrez les 5 citations qui ont remporté le plus de succès cette semaine sur les réseaux sociaux (Facebook et Twitter).
Découvrez les 5 citations qui ont remporté le plus de succès cette semaine sur les réseaux sociaux (Facebook et Twitter).
Les années Pompidou, Giscard d’Estaing et Mitterrand
La dévaluation de 1982 sème les premiers doutes sur la politique économique socialiste
La gauche est battue lors des élections cantonales de 1982, alors même que ces élections étaient devenues importantes avec la décentralisation qui a renforcé les pouvoirs des élus locaux. Plus grave encore : le franc est dévalué, du fait des déficits croissants. La France s’offre un socialisme social et une relance économique très au-dessus de ses moyens financiers, et la politique menée par le gouvernement inspire désormais la méfiance.
Les années Pompidou, Giscard d’Estaing et Mitterrand
Les nationalisations et l’abolition de la peine de mort
Après dissolution de l’Assemblée, les législatives des 14 et 21 juin 1981 consolident largement la victoire de la gauche : 285 députés socialistes, et 44 communistes. Face a 88 RPR et 62 UDF (et 12 non-inscrits). La majorité peut alors mettre en œuvre son programme, avec des mesures emblématiques : les nationalisations, l’impôt sur les grandes fortunes et l’abolition de la peine de mort.
Les années Pompidou, Giscard d’Estaing et Mitterrand
Un premier Président socialiste : entre enthousiasme et inquiétude
« Il n’y a eu qu’un vainqueur le 10 mai 1981, c’est l’espoir. Puisse-t-il devenir la chose de France la mieux partagée ! » déclare François Mitterrand lors de son discours d’investiture. Car si la gauche exulte, François Mitterrand doit rassembler, et surtout rassurer les Français inquiets de l’élection d’un président socialiste et des réformes à annoncées dans son programme.
Les années Pompidou, Giscard d’Estaing et Mitterrand
L’élection de François Mitterrand
Opposant au second tour le président sortant à François Mitterrand, le scrutin s’annonce extrêmement serré, et tout se joue lors du débat télévisé. Deux intelligences égales, deux styles opposés. Giscard est plus a l’aise a la télévision, mais Mitterrand a une revanche a prendre, et il a eu sept ans pour se préparer.
Les années Pompidou, Giscard d’Estaing et Mitterrand
L’élection présidentielle de 1981
Valéry Giscard d’Estaing reconnaîtra qu’il a fait une mauvaise campagne, plutôt bâclée, lors de cette élection présidentielle. C’est Chirac qui va se révéler le meilleur dans le jeu de massacre, et séduire l’électorat de droite, qui découvre un homme neuf et battant. Autre homme neuf et totalement inattendu, Coluche, crédité de plus de 10% d’intentions de vote, semant la panique chez les principaux candidats.
Les années Pompidou, Giscard d’Estaing et Mitterrand
Premières élections européennes et crise économique mondiale
Alors que se déroulent en 1979 les premières élections des députés du Parlement européen au suffrage universel, Jacques Chirac lance son appel de Cochin pour dénoncer « le parti de l’étranger ». La majorité l’emporte, confirmant cette nouvelle étape dans la construction européenne. Dans le même temps, les crises pétrolières frappent les économie européennes, qui sont mises à rude épreuve.
Découvrez les 5 citations qui ont remporté le plus de succès cette semaine sur les réseaux sociaux (Facebook et Twitter).
Les années Pompidou, Giscard d’Estaing et Mitterrand
Les élections législatives de 1978
Malgré un résultat extrêmement serré, la majorité sortante est confortée. Comme aux lendemains des élections de mars 1977, Giscard d’Estaing opère un vaste remaniement ministériel (30 avril 1978). C’est le gouvernement Barre III, qui gouvernera jusqu’à l’élection présidentielle de 1981. L’échec de la gauche met un terme a l’aventure du Programme commun. Désormais, Parti socialiste et Parti communiste poursuivent des trajectoires distinctes.
Les années Pompidou, Giscard d’Estaing et Mitterrand
Raymond Barre et la lutte contre l’inflation
Le nouveau Premier ministre Raymond Barre succède à Jacques Chirac démissionnaire, et il s’engage dans une politique de lutte contre l’inflation. Les réalités sont enfin prises à bras-le-corps, alors que le taux d’inflation menaçait d’atteindre 12-13 % dans l’année – il sera limité a 9,6 %. Mais les mesures d’austérité annoncées provoquent, inévitablement, l’hostilité des syndicats et de l’opposition.