Maréchal glorieux, héros de la guerre de Crimée au siège de Sébastopol (“ J’y suis, j’y reste ”), nommé vingt ans après président de la Troisième République (rival heureux de Thiers). Monarchiste à l’image du pays, il veut laisser la place au prétendant au trône, mais refuse le rétablissement du drapeau blanc. Loyal, il saura se soumettre, puis se démettre en cours de septennat.
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Affichage de 1 - 15 sur 15.(1808-1893), au fort de Malakoff, surplombant la citadelle de Sébastopol, 8 septembre 1855
(1808-1893), Proclamation affichée le 29 mai 1871
« Vous faites appel à mon patriotisme… soit, j'accepte ! »2426
(1808-1893), 18 mai 1873
« Il faut tout prendre au sérieux, mais rien au tragique. »2427
(1797-1877), Discours à la Chambre des députés, 24 mai 1873
(1820-1883), apprenant le refus de Mac-Mahon qui se récuse, le 12 novembre 1873
(1823-1902), J’y suis, j’y reste (1873), chanson
« Que d’eau, que d’eau ! »2445
(1808-1893) à la vue des inondations catastrophiques, Toulouse, 26 juin 1875
« Je suis, vous le savez, messieurs, profondément républicain et profondément conservateur. »2448
(1814-1896), président du Conseil, Chambre des députés, Déclaration ministérielle du 14 décembre 1876
« L’ordre moral atteint au délire de la stupidité. »2452
(1821-1880), Correspondance, volume IV (1893)
« Quand la France aura fait entendre sa voix souveraine […] il faudra se soumettre ou se démettre. »2453
(1838-1882), Discours de Lille, 15 août 1877
« La monture a l’air intelligent, ma foi. »2454
Légende d’un portrait de Mac-Mahon à cheval, été 1877
(1808-1893), Message du président de la République aux Chambres, 14 décembre 1877