Vivant aussi bien que mort, il profite autant qu’il souffre de la comparaison avec le premier. Son Second Empire - entre Deuxième et Troisième Républiques - est également mal aimé, sans doute injustement, surtout vu par Hugo, le plus ardent, constant et génial opposant de l’Histoire. Restent certaines vérités à redécouvrir, y compris un humour qui surpasse celui de l’Autre.
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Affichage de 26 - 50 sur 61.(1802-1885), Pendant l’exil (écrits et discours de 1852-1870)
(1802-1885), Histoire d’un crime (1877)
« C'est le premier vol de l'Aigle ! »2224
(1783-1865), 22 janvier 1852
(1787-1874), Mémoires pour servir à l’histoire de mon temps (1858-1867)
(1808-1873), Allocution à Abd el-Kader, 16 octobre 1852
(1808-1873), Sénat, 4 novembre 1852
(1820-1856), La Carte à payer, chanson
« Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! »2234
(1802-1885), Les Châtiments (1853)
« Aujourd’hui, le règne des castes est fini, on ne peut gouverner qu’avec les masses. »2243
(1808-1873), L’Extinction du paupérisme (1844)
(1802-1885), Napoléon le Petit (1852)
« Qui arracherait une plume à son aigle risquerait d’avoir dans la main une plume d’oie. »2248
(1802-1885), Histoire d’un crime (1877)
« L’empereur est une grande incapacité méconnue. »2249
(1815-1898)
« En politique, il faut guérir les maux, jamais les venger. »2250
(1808-1873), Des idées napoléoniennes (1839)
« Véritable Saturne du travail, l'industrie dévore ses enfants et ne vit que de leur mort. »2251
(1808-1873), L’Extinction du paupérisme (1844)
« Ce n'est pas la peine d'avoir risqué le coup d'État avec nous tous pour épouser une lorette. »2254
(1808-1872), à Napoléon III, décembre 1852
« L’histoire a pour égout des temps comme les nôtres. »2257
(1802-1885), Les Châtiments (1853)
(1808-1873), apprenant le mot d’ (1797-1877) sur sa politique italienne, 1856
(1810-1868), ministre des Affaires étrangères, présidant le Congrès de la paix qui s’ouvre à Paris, le 25 février 1856
« L’Empereur, vous n’avez rien de lui ! — Tu te trompes, mon cher, j’ai sa famille. »2269
(1808-1873) à son cousin germain Jérôme-Napoléon Bonaparte (1856)
Le préfet de Dordogne en juin 1857