De Gaulle : « La réforme, oui, la chienlit, non. »
Réplique étudiante dès le lendemain, sortie de l’Atelier des Beaux-Arts : La chienlit, c’est lui !
Réplique étudiante dès le lendemain, sortie de l’Atelier des Beaux-Arts : La chienlit, c’est lui !
Petite phrase devenue citation bien connue, après menue correction. Le rapport débutait par : « Les bras manquent à l’agriculture dans un grand nombre de localités… »
La France est et restera jusqu’au XIXe siècle un pays agricole à plus de 90%. Henri IV a nommé Sully surintendant des Finances, pour ses talents de gestionnaire et d’administrateur. Le ministre peut enfin entreprendre de réorganiser l’agriculture française
Le vieil homme est devenu le « Perd la Victoire » : piètre négociateur au traité de Versailles signé le 28 juin, il a laissé l’Anglais Lloyd George et l’Américain Wilson l’emporter sur presque tous les points.
Commandant en chef de l’AEF (American Expeditionary Force), il s’adresse à Foch qui reprend le commandement de toutes les forces alliées, le 26 mars 1918. L’unité de commandement s’imposait, pour contrer l’assaut allemand du 21 mars qui a rompu le front des alliés sur 50 km.
À l’occasion du centenaire de Verdun, téléchargez gratuitement le volume Première Guerre mondiale avec la photo de Clemenceau le « Père la victoire » dans les tranchées (extrait des Chroniques, volume 8, Second Empire et Troisième République).
À 76 ans, il est appelé à la tête du gouvernement et en dernier recours, par le président Poincaré (16 novembre 1917). Jusque-là, le Tigre s’est tenu à l’écart, accablant de sarcasmes les chefs…
Ce n’est pas sans mal et sans morts que Pétain va défendre Verdun, en 1916 ! Auparavant, il réorganise le commandement et le ravitaillement des troupes par la Voie sacrée (qui relie Verdun à Bar-le-Duc).
Appel affiché sur les murs des communes de France, avec l’ordre de mobilisation générale. Mais le 3 août, l’Allemagne nous déclare la guerre, d’où le Message du président aux Chambres : « Dans la guerre qui s’engage, la France sera héroïquement défendue par tous ses fils dont rien ne brisera, devant l’ennemi, l’union sacrée. »