Donner naissance aux enfants royaux, assumer une régence, veiller à l’éducation des enfants, autant de tâches concrètes. Mention particulière pour “ Madame Mère ”, un sacré caractère et 13 enfants, dont Napoléon. C’est aussi une allégorie politique et/ou poétique, pour désigner la République et la France “ mère des arts, des armes et des lois ”, admirable et protectrice ou victime et souffrante, selon l’époque.
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Affichage de 1 - 23 sur 23.« Accourez, je vous prie, accourez, voilà ma maîtresse que sa mère étrangle. »82
Cris d’une servante de Rigonthe (vers 593)
« Hélas ! Vous ne me laisserez donc voir mon seigneur ni morte ni vive ! »211
(1221-1295), à Blanche de Castille, 1240
« France, mère des arts, des armes et des lois ! »390
(1522-1560), Les Regrets (1558)
(1494-1547), Lettre à sa mère Louise de Savoie, au soir du 13 septembre 1515
« Fille pire que sa mère, qui avait gâté son mari et infesté toute la maison de Vendôme. »494
(1476-1559), peu avant sa mort
« France et vous valent mieux que Pologne. »540
(1551-1589), Lettre à Catherine de Médicis, 22 juin 1574
« Je veux peindre la France une mère affligée, / Qui est, entre ses bras, de deux enfants chargée. »545
(1552-1630), Les Tragiques (1616)
(1658-??), belle-fille (et complice) de la Voisin
(1651-1715), Traité de l’Éducation des filles (1687)
(1712-1778), L’Émile ou De l’éducation (1762)
« Il aura tous les talents, excepté celui d’en faire usage. »1070
(1652-1722), parlant de son fils, le Régent, et « citant » avec humour la mauvaise fée venue lui jeter un sort, lors de ses couches
Romance en l’honneur de Marie-Antoinette, chanson (1774)
« Maman, est-ce qu'hier n'est pas fini ? »1388
Le dauphin LOUIS, futur «
» (1785-1795), à Marie-Antoinette, fin juin 1791
(1746-1795), Acte d’accusation de Marie-Antoinette, Tribunal révolutionnaire, 14 octobre 1793
(1755-1793), réplique à un juré s’étonnant de son silence au sujet de l’accusation d’inceste, Tribunal révolutionnaire, 14 octobre 1793
, alias Marie Letizia (ou Laetitia) Ramolino (1750-1836)
(1778-1839), 125e archevêque de Paris (de 1821 à sa mort)
(1813-1888), paroles, et (1811-1879), musique, Chant des Girondins (1847), entonné le 22 février 1848 au matin, place de la Concorde
(1802-1885), Assemblée législative, Discours du 17 juillet 1851
« La réconciliation des enfants au chevet de la mère malade. »2652
(1872-1957), parlant avec ironie du nouveau gouvernement Poincaré, 23 juillet 1926
« Je crois à la justice, mais je défendrai ma mère avant la justice. »2913
(1913-1960), à Stockholm, 5 octobre 1957