Personnage le plus cité, aimé, voire adoré, en même temps que détesté. C’est la star de l’Histoire en citations. On ne se lasse pas de son éloquence face aux soldats, de sa mauvaise foi contre le pape, de sa misogynie proverbiale. Et son auto portrait réserve quelques surprises. Exemple : “ Quand j’ai besoin de quelqu’un, je n’y regarde pas de si près, je le baiserais au cul. ”
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Affichage de 126 - 150 sur 162.Ot’-toi d’là que j’m’y mette, chanson de 1815
« Ils n’ont rien oublié, ni rien appris. »1926
(1769-1821), Golfe-Juan, Proclamation du 1er mars 1815
(1769-1821), Golfe-Juan, Proclamation du 1er mars 1815
(1768-1848), Mémoires d’outre-tombe (posthume)
Ot’-toi d’là que j’m’y mette, chanson de 1815
(1759-1820), lucide quant à l’avenir, mars 1815
(1769-1821) ouvrant sa redingote grise et montrant sa poitrine nue aux soldats venus l’arrêter, 7 mars 1815
« Il faut tuer Buonaparte comme un chien enragé. »1934
(1754-1838), Congrès de Vienne, 12 mars 1815
Les souverains alliés, Congrès de Vienne, 13 mars 1815
« Ce diable d’homme m’a gâté la France. »1937
(1769-1821)
« Garde. – La garde meurt et ne se rend pas ! Huit mots pour remplacer cinq lettres. »1946
(1821-1880), Dictionnaire des idées reçues (posthume, 1913)
« Waterloo n’est point une bataille : c’est le changement de front de l’univers. »1949
(1802-1885), Les Misérables (1862)
« J’avais demandé vingt ans ; la destinée ne m’en a donné que treize. »1950
(1769-1821), au lendemain de Waterloo
(1769-1821), 22 juin 1815
(1769-1821), Lettre au régent d’Angleterre, 13 juillet 1815
« Madame, Napoléon est en route pour Sainte-Hélène. »1958
(1773-1859), Lettre à Marie-Louise, 13 août 1815
« L’Angleterre prit l’aigle et l’Autriche l’aiglon. »1961
(1802-1885), Les Chants du crépuscule (1835)
« Soldats, droit au cœur ! »1965
(1769-1815), commandant lui-même son peloton d’exécution, 7 décembre 1815. Son mot de la fin
(1780-1857), Les Souvenirs du peuple (1828), chanson
(1811-1832), mourant à 21 ans de tuberculose, 22 juillet 1832
(1808-1873), Idées napoléoniennes (1839)
(1790-1869), à l’occasion du retour des cendres de Napoléon, Discours à la Chambre, 26 mai 1840
(1885-1970), Bloc-notes, IV (1965-1967) dans le journal L’Express