Vivant aussi bien que mort, il profite autant qu’il souffre de la comparaison avec le premier. Son Second Empire - entre Deuxième et Troisième Républiques - est également mal aimé, sans doute injustement, surtout vu par Hugo, le plus ardent, constant et génial opposant de l’Histoire. Restent certaines vérités à redécouvrir, y compris un humour qui surpasse celui de l’Autre.
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Affichage de 1 - 25 sur 61.(1808-1873), Idées napoléoniennes (1839)
(1808-1873), Idées napoléoniennes (1839)
« La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l’opulence ne sera plus oppressive. »2118
(1808-1873), L’Extinction du paupérisme (1844)
« Surtout n'ayez pas peur du peuple, il est plus conservateur que vous. »2142
(1808-1873), Du système électoral
(1885-1970), Bloc-notes, IV (1965-1967) dans le journal L’Express
« Toute ma vie sera consacrée à l’affermissement de la République. »2179
(1808-1873), Discours du 21 septembre 1848
Le Prétendu de la République (1848), chanson anonyme
« Une Chambre ressemble trop à un théâtre où les grands acteurs seuls peuvent réussir. »2183
(1808-1873), Améliorations à introduire dans nos mœurs et nos habitudes parlementaires (1856)
(1790-1869), Assemblée constituante, 4 novembre 1848
Complainte de Louis-Napoléon pour compléter sa profession de foi (1848), chanson
« Le citoyen Bonaparte élu président de la République. »2189
(1801-1852), président de l’Assemblée constituante, Déclaration du 20 décembre 1848
(1808-1873), Assemblée constituante, 20 décembre 1848
(1808-1873), Améliorations à introduire dans nos mœurs et nos habitudes parlementaires (1856)
« Il est temps que les bons se rassurent et que les méchants tremblent. »2199
(1808-1873), président de la République, justifiant la condamnation de Ledru-Rollin et vingt autres montagnards, juin 1849.
Formule reprise en 1858, après l’attentat d’Orsini, par le (1815-1859), ministre de l’Intérieur et de la Sûreté générale
« On craint une folie impériale. Le peuple la verrait tranquillement. »2200
(1818-1880), née Dosne
(1802-1885), Avant l’exil (discours 1841-1851)
« L’élu de six millions de suffrages exécute les volontés du peuple, il ne les trahit pas. »2208
(1808-1873), Discours de Lyon, 15 août 1850
« L’an passé, ils adoraient le sabre. Les voilà maintenant qui adorent le gourdin. »2209
(1802-1885), mots prémonitoires, datés de novembre 1849
« Ce gouvernement, je le caractérise d’un mot : la police partout, la justice nulle part. »2211
(1802-1885), Assemblée législative, avril 1851
(1808-1879), légende d’une caricature (1851)
« Le propre de la démocratie est de s’incarner dans un homme. »2215
(1808-1873), à la veille du coup d’État
« Une opération de police un peu rude. »2216
(1811-1865), ministre de l’Intérieur (et demi-frère de Louis-Napoléon) qualifiant le coup d’État du 2 décembre 1851.
Mot attribué plus tard, selon certaines sources à l’écrivain Eugène-Melchior de VOGÜÉ (1848-1910)
(1808-1873), plébiscité les 21 et 22 décembre 1851