À la fois courtisan et insolent dès son plus jeune âge, on adore son humour, ses citations extraites d’une œuvre en grande partie injouable et illisible. Il incarne le siècle des Lumières et une certaine France, douce quoique prérévolutionnaire. C’est aussi notre premier intellectuel engagé contre l’intolérance, l’injustice. Opposé à Rousseau en presque tout, les deux philosophes se retrouvent au Panthéon, sous la Révolution.
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Affichage de 1 - 25 sur 42.« Louis XIV le reçut comme un père et le peuple comme un maître. »796
(1694-1778) évoquant le retour de Mazarin, 3 février 1653
« Non seulement il s’est fait de grandes choses sous son règne, mais c’est lui qui les faisait. »816
(1694-1778), Le Siècle de Louis XIV (1751)
(1694-1778), Le Sottisier (posthume, 1880)
(1694-1778), Lettres philosophiques (1734)
(1694-1778), Lettre à d’Argental, 22 octobre 1759, Correspondance (posthume)
(1709-1777), Lettre à son cousin Loppin de Gémeaux, 4 janvier 1759
(1790-1869), Première méditation (1820)
« Voltaire alors régnait, ce singe de génieChez l’homme en mission par le diable envoyé. »1017
(1802-1885), Les Rayons et les ombres (1840)
(1753-1821), Les Soirées de Saint-Pétersbourg (1821)
« Oh ! le bon temps que ce siècle de fer ! »1019
(1694-1778), Le Mondain (1736). Satires
(1694-1778)
« Cultivons notre jardin. »1021
(1694-1778), Candide (1759)
« Il vaut mieux hasarder de sauver un coupable que de condamner un innocent. »1023
(1694-1778), Zadig ou la destinée (1747)
« Si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer. »1024
(1694-1778), Épîtres
(1694-1778), Lettres philosophiques, ou Lettres anglaises (1734)
(1694-1778), Lettres philosophiques, ou Lettres anglaises (1734)
« Les Français ne sont pas faits pour la liberté : ils en abuseraient. »1027
(1694-1778), Faits singuliers de l’histoire de France
« Le peuple ressemble à des bœufs, à qui il faut un aiguillon, un joug, et du foin. »1028
(1694-1778), Correspondance, 17 avril 1765
(1694-1778), Lettre à Gallitzin, 19 juin 1773
(1694-1778), citation apocryphe
« Voici le temps de l'aimable Régence, Temps fortuné marqué par la licence. »1069
(1694-1778), La Pucelle, chant XIII (posthume, 1859)
(1694-1778), La Bastille (1717), Poésies diverses
(1694-1778), au Régent qui vient de le libérer, 1718
« Mon nom, je le commence, et vous finissez le vôtre. »1096
(1694-1778), au chevalier de Rohan-Chabot, janvier 1726