Forme de résistance plus ou moins violente, pouvant aller jusqu’à l’émeute, l’insurrection, la Fronde, la révolution, voire La Révolution française, référence dans le monde, ou la Commune de Paris.
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Affichage de 26 - 50 sur 104.« Mais c’est une révolte ?— Non, Sire, c’est une révolution ! »1333
Réponse du
(1747-1827), à (1754-1793), réveillé le soir du 14 juillet, à Versailles
(1757-1834), à la foule, Versailles, 6 octobre 1789
« Un peuple en état de révolution est invincible. »1405
(1755-1825), Législative, 29 novembre 1791
(1762-1817), Discours prononcé à la Société fraternelle des Minimes, 25 mars 1792
(1759-1794), à Grandpré, collaborateur du ministre de l’Intérieur Roland
(1758-1794), Convention, 5 novembre 1792
(1759-1820), à Saint-Just, novembre 1793
« Ceux qui font les révolutions à moitié n’ont fait que se creuser un tombeau. »1577
(1767-1794), Convention, Rapport du 26 février 1794 (premier décret de ventôse)
(1754-1840), Pensées sur divers sujets (1817)
(1769-1821), Lettre à Joseph, roi de Naples, 17 août 1806
« La dernière raison des rois, le boulet. La dernière raison des peuples, le pavé. »2028
(1802-1885), Littérature et philosophie mêlées (1834)
(1787-1874), Discours du 3 mai 1837
« Vivre libres en travaillant ou mourir en combattant. »2069
Cri célèbre de l’émeute des canuts, 22 novembre 1831
(1851-1925), La Complainte des canuts, chanson
« Du travail ou la mort ! Nous aimons mieux périr d’une balle que de faim. »2071
Réponse des ouvriers au préfet
(1777-1832), Chambre des députés, 1831
« Profession ? — Émeutier ! »2073
(1808-1893), 4 janvier 1832
« Le choléra-blocus a succédé au choléra-morbus. »2077
Journaux d’opposition
(1790-1869), Banquet politique tenu à Mâcon, 18 juillet 1847
(1813-1888), paroles, et (1811-1879), musique, Chant des Girondins (1847), entonné le 22 février 1848 au matin, place de la Concorde
(1802-1885), Choses vues, 24 février 1848 (posthume)