Le plus souvent associée à la guerre, pour le meilleur (victoire) ou le pire (défaite). Les noms et les dates restent dans la mémoire collective : Marignan (1515), Valmy (1792), Austerlitz (1805, 2 décembre), Waterloo (1815). D’autres formes d’affrontement et de rivalité existent dans l’Histoire - ambition personnelle, idéologie, commerce…
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Affichage de 26 - 50 sur 53.« Soldats, songez que du haut de ces pyramides, quarante siècles vous contemplent. »1671
(1769-1821), Proclamation supposée, avant la bataille des Pyramides du 21 juillet 1798
(1769-1809), à Napoléon Bonaparte venu le féliciter, après la bataille de Montebello, 9 juin 1800
Chanson de l’oignon, 1800, anonyme et très popilaire
(1768-1800), au jeune Lebrun, son aide de camp, mot de la fin à Marengo, 14 juin 1800
Marche d’Austerlitz, 2 décembre 1805, chanson
(1769-1821) sur le champ de bataille d’Eylau, 9 février 1807
La Campagne de Russie (automne 1812), chanson
« Voilà le commencement de la fin. »1869
(1754-1838), à l’annonce du désastre de la retraite de Russie, décembre 1812
« J’ai tout fait pour mourir à Arcis. »1883
(1769-1821), à Caulaincourt, évoquant la bataille du 19 mars 1814
« Rendez-moi ma jambe et je vous rendrai Vincennes. »1885
(1776-1832), aux Alliés assiégeant Vincennes, début avril 1814
« La garde meurt et ne se rend pas. »1945
(1770-1842), paroles gravées sur le socle en granit de sa statue à Nantes (sa ville natale)
« Garde. – La garde meurt et ne se rend pas ! Huit mots pour remplacer cinq lettres. »1946
(1821-1880), Dictionnaire des idées reçues (posthume, 1913)
« Waterloo n’est point une bataille : c’est le changement de front de l’univers. »1949
(1802-1885), Les Misérables (1862)
« J’avais demandé vingt ans ; la destinée ne m’en a donné que treize. »1950
(1769-1821), au lendemain de Waterloo
(1808-1873), Lettre à Guillaume Ier, Sedan, 1er septembre 1870
(1859-1914), Histoire socialiste, 1789-1900, volume XI, La Commune, Louis Dubreuilh (1908)
(1852-1931), Proclamation du 6 septembre 1914
« Mon centre cède, ma droite recule, situation excellente, j’attaque. »2590
(1851-1929), Message au GQG (Grand Quartier Général), pendant la première bataille de la Marne, du 6 au 9 septembre 1914
(1852-1931), réponse laconique, citée dans Le Journal du 29 octobre 1914
« Verdun est le cœur de la France. »2595
(1859-1941), empereur d’Allemagne, 14 février 1916
Défi des Français face aux Allemands, à Verdun
La Chanson de Craonne, printemps 1917
« Accepter l’idée d’une défaite, c’est être vaincu. »2608
(1851-1929)
« Je me battrai devant Paris, je me battrai dans Paris, je me battrai derrière Paris ! »2609
(1841-1929), printemps 1918