L’histoire de France par les chansons, ça existe et c’est tout à la fois drôle et dramatique, héroïque et poétique. Moyen d’expression populaire et souvent anonyme aux origines, il se joue de la censure. Les œuvres sont ensuite signées, revendiquées, faisant parfois carrière politique - la Marseillaise ou l’Internationale.
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Affichage de 26 - 50 sur 119.À mon mari je suis fidèle, chanson
Chanson à la mort de Louis XV (1774)
(1709-1783), Or, écoutez, petits et grands, chanson (mai 1774)
Romance en l’honneur de Marie-Antoinette, chanson (1774)
Les Édits (1776), chanson des Jacques Bonhomme de France
« Notre Saint Père l’a rougi,Le roi de France l’a noirci,Le Parlement le blanchira,Alleluya. »1241
Alleluya sur l’affaire du Collier (1786), chanson
« Notre saint père est un dindonLe calotin est un friponNotre archevêque un scélérat / Alleluya. »1250
Première chanson anticléricale attaquant le pape (sans titre, et sans auteur)
Considérations politiques de Messieurs les notables de la halle au pain (1787), chanson
(XVIIIe siècle), paroles, et (XVIIIe siècle), musique, Le Carillon national, chanson
Le Tombeau des aristocrates (anonyme), chanson
« Allons, enfants de la patrie… »1410
(1760-1836), Chant de guerre pour l’armée du Rhin (1792)
(1760-1836), Le Chant de guerre pour l’armée du Rhin, refrain (1792)
Complainte de Louis XVI aux Français, quand le verdict fatal est connu à la fin du procès, chanson anonyme
(fin du XVIIIe siècle), Joie du peuple républicain (début 1793), chanson
(fin du XVIIIe siècle), citoyen de la section Luxembourg, La Mort de Marat, chanson, 1793
(fin du XVIIIe siècle), Impromptu sur le raccourcissement du Père Duchesne, printemps 1794, chanson
Portrait du sans-culotte, chanson anonyme
La Carmagnole de Fouquier-Tinville, mai 1795, chanson