L’histoire de France par les chansons, ça existe et c’est tout à la fois drôle et dramatique, héroïque et poétique. Moyen d’expression populaire et souvent anonyme aux origines, il se joue de la censure. Les œuvres sont ensuite signées, revendiquées, faisant parfois carrière politique - la Marseillaise ou l’Internationale.
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Affichage de 76 - 100 sur 119.(1813-1888), paroles, et (1811-1879), musique, Chant des Girondins (1847), entonné le 22 février 1848 au matin, place de la Concorde
(1816-1887), Le Vote universel (1848), chanson
(XIXe siècle), La Marseillaise des femmes (ou Marseillaise des cotillons), chanson de 1848
La Candidature du citoyen Thiers en 1848, chanson nouvelle en 9 couplets, signée « Le Révélateur impartial »
(1821-1870), Les Journées de Juin (1848), chanson
Le Prétendu de la République (1848), chanson anonyme
Complainte de Louis-Napoléon pour compléter sa profession de foi (1848), chanson
(1820-1856), La Carte à payer, chanson
(1833-1923), paroles et musique, La Chanson du pauvre (1869)
(1823-1902), Les Comptes fantastiques d’Haussmann, chanson
Ces beaux Prussiens (1870), chanson
(1845-1901), paroles, et (1845-1915) musique, Le Sire de Fich-ton-kan (1870), chanson
Les Actes de Badinguet (1870), chanson
Le Plan de Trochu, chanson (1871) - « œuvre collective des journalistes du Grelot »
« Debout ! Les damnés de la terre !Debout ! Les forçats de la faim ! »2382
(1816-1887), paroles de L’Internationale, chanson
(1851-1925), J’suis d’l’avis du gouvernement, chanson
(1816-1887), paroles, et (1848-1932), musique, L’Insurgé (1884), chanson
(1840-1892), paroles, et (1847-1899), musique, Le Fils de l’Allemand, chanson
(1840-1892), paroles, et (1847-1899), musique, Le Maître d’école alsacien, chanson
(1823-1902), J’y suis, j’y reste (1873), chanson