1789, fin de l’Ancien Régime. La France entre en République avec la devise Liberté-Égalité-Fraternité, l’Assemblée nationale, une Constitution et le pouvoir au peuple - la démocratie. Des têtes d’affiche se succèdent à la tribune, Mirabeau, Danton, Robespierre. Malgré la Terreur et la suite - deux empires, deux monarchies -, la Révolution (française) marque un progrès irréversible, exemplaire pour le monde.

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« Ayant dit un nombre prodigieux de sottises, la Révolution en a fait dire encore plus. »1629

Jacques BAINVILLE (1879-1936), Lectures (recueil d’articles, posthume, 1937)

« La Révolution française est un bloc dont on ne peut rien distraire. »1635

Georges CLEMENCEAU (1841-1929), Discours, Chambre des députés, 29 janvier 1891

« La Révolution n’est pas un bloc. Elle comprend de l’excellent et du détestable. »1636

Édouard HERRIOT (1872-1957), Aux sources de la liberté (1939)

« Il y a deux moyens sûrs pour ne rien comprendre à la Révolution française, c’est de la maudire ou de la célébrer. »1639

François FURET (1927-1997), La Révolution française (1965), écrit avec Denis Richet

« J'emmerde la Révolution. »1640

Duc de CASTRIES (1938-2014)

« Nous avons fini le roman de la Révolution : il faut en commencer l’histoire… »1683

Napoléon BONAPARTE (1769-1821), au Conseil d’État, le lendemain du coup d’État du 18 Brumaire (9 novembre 1799)

« La Révolution est finie. »1689

Napoléon BONAPARTE (1769-1821), Déclaration consulaire (résumée), 25 décembre 1799

« C’était un fou, votre Rousseau ; c’est lui qui nous a menés où nous sommes. »1712

Napoléon BONAPARTE (1769-1821), à Stanislas Girardin, lors d’une visite à Ermenonville, dans la chambre où mourut le philosophe, 28 août 1800

« Une suite d’événements sans pareils ont fait de la France un monde nouveau. »1731

Jacques NECKER (1732-1804), Dernières vues de politique et de finances (1802)

« La France a toujours cru que l’égalité consistait à trancher ce qui dépasse. »2853

Jean COCTEAU (1889-1963), Discours de réception à l’Académie française (1955)

« En mai dernier, on a pris la parole comme on a pris la Bastille en 1789. »3080

Michel de CERTEAU (1925-1986), « Pour une nouvelle culture : prendre la parole », Études, juin-juillet (1968)

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